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Quelques sites qui méritent le voyage ...
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16,5 | 24 | 220 p. |
Sortir de l’économisme
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Merlant Philippe, Passet René B , Robin Jacques B | essai | économie | 2003 03/04/03 | 9782708236837 | L’Atelier |
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Politique et société -économie | 21,30 € 21.30 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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L’humanité entre dans une nouvelle ère. Depuis le néolithique, l’activité humaine s’est basée sur la domestication de l’énergie pour transformer la matière, donner naissance à l’agriculture puis l’industrie. Aujourd’hui, ce sont les immenses capacités de stockage et de circulation de l’information qui, par l’informatique, la robotique, le numérique, les biotechnologies et l’essor prodigieux des réseaux provoquent une mutation considérable. Ces transformations qui peuvent conduire à un développement inédit des relations humaines sont gâchées, retournées, perverties par un système néolibéral fondé sur la seule logique des intérêts financiers. Loin des rivalités médiocres dont le monde politique nous donne trop souvent le spectacle, cet ouvrage propose une alternative : sortir de l’économisme. Les contributions qui constituent ce livre s’organisent ainsi autour de quatre thèmes : celui de l’ère informationnelle dans laquelle entre l’humanité ; celui d’un nouveau regard que cette mutation nous invite à porter sur l’économie, la science, la culture, la façon de concevoir et de mesurer la richesse ; celui d’une économie plurielle organisée autour des fonctions essentielles que doit assumer toute société ; celui d’un monde solidaire car la logique de l’humain appelle coopération, remise en question du fonctionnement des institutions internationales, des rapports entre riches et pauvres, puissants et dominés afin de dessiner les contours d’une nouvelle gouvernance mondiale.
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11 | 18 | 407 p. |
La grande désillusion
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Stiglitz Joseph E. B | 2003 24/09/03 | 9782253155386 | LGF/Livre de poche |
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Politique et société -économie | 7.20 1,80 € | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||||
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" Aujourd’hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ça ne marche pas pour les pauvres du monde. Ça ne marche pas pour l’environnement. Ça ne marche pas pour la stabilité de l’économie mondiale. " L’auteur de ces lignes ? Le professeur Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie, ancien conseiller de Bill Clinton, qui en novembre 1999 a démissionné de son poste d’économiste en chef et de vice-président de la Banque mondiale : " Plutôt que d’être muselé, j’ai préféré partir ", expliquera-t-il. Son livre est un constat qui vaut réquisitoire : preuves à l’appui, il démontre que les règles du jeu économique mondial ne sont souvent fixées qu’en fonction des intérêts des pays industrialisés avancés - et de certains intérêts privés en leur sein -, et non de ceux du monde en développement. Politique d’austérité, libéralisation des marchés des capitaux et privatisations sont appliquées aveuglément, en dépit de leur échec avéré, à tous les pays, en particulier aux pays en transition et du Sud. A lire Joseph Stiglitz, on a le sentiment de comprendre les vrais enjeux du monde d’aujourd’hui, de saisir toute l’urgence d’une réforme en profondeur du statut et des politiques préconisées par les institutions financières internationales. livre de poche n° 6427 |
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15,5 | 23 | 509 p. |
Diktats du libre marché
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Ruisseaux (des) Manon B | économie | 2006 05/09/06 | 9782892392814 | Louise Courteau |
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Politique et société -économie |
25.00 5,00 €
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présent à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||||
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Ne pouvant me résigner à garder sous silence le fruit juteux, mais amer d’une expérience aussi enrichissante que désespérante, je choisis de dénoncer (Manon des Ruisseaux). Les diktats du libre marché est un réquisitoire contre le discours officiel, la frime égalitariste, la prétention à la liberté et la justice dont se targuent nos démocraties. À travers les nombreux thèmes abordés, cet ouvrage s’attaque à l’hypocrisie, aux mensonge ; et à la manipulation du pouvoir financier et politique, aux illusion ; que ce pouvoir a su, avec brio, créer et entretenir. Au mythe de la démocratie et de la liberté s’oppose, non pas le complot, mais une brillante planification sur laquelle a travaillé et travaille toujours la grande finance internationale. L’auteur nous ramène aux possibles rêves des années d’après-guerre, pendant lesquelles certains acquis sociaux nous semblaient si largement consentis. Ces acquis, présentés comme l’aboutissement d’une lente et longue évolution de l’humanité, n’étaient que de brèves concessions accordées par le pouvoir dont les objectifs étaient bien éloignés des buts avoués. Leur courte durée en fait foi. Des constats de l’auteur sur différentes thématiques (tels les leurres entretenus par nos systèmes de santé et d’éducation, nos institutions et leurs législations, la technologie et la recherche scientifique) découlent des propositions visant un réel processus de démocratisation et une saine participation citoyenne. L’auteur apporte, en dernière partie, différentes avenues prônant l’autonomie régionale, la démocratisation de l’économie, l’abolition des parti politiques et la création de plates-formes thématiques populaires et décisionnelles. On dit qu’une formation en géographie mène à tout. Femme de terrain, l’auteur a parcouru la planète et nous le prouve. Elle a une feuille de route bien remplie : de l’intervention social en santé mentale au monde des communications, d’une année sabbatique en Asie au travail de coopération internationale en Afrique et en Amérique du Sud, l’auteur a ouvert les yeux et le oreilles et a trouvé les mots pour dénoncer ! Elle vous propose un témoignage où vous vous sentirez à coup sûr, et à plus d’un égard, vivement interpellés. |
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11 | 18 | 192 p. |
L’économie de marché
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Guesnerie Roger | essai | économie | 2006 13/04/06 | 9782746502789 | Le Pommier |
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Politique et société -économie |
7.50 2,25 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Le marché est plus que jamais une réalité incontournable, qui pèse sur notre organisation sociale et sur notre vie quotidienne. Est-ce à dire que le marché, à lui seul, fournit les clés de l’avenir ? Pour répondre à cette question qui, le plus souvent, suscite des réactions aussi partielles que partiales, Roger Guesnerie tient la gageure de dresser un panorama objectif et éclairant des économies de marché. Son regard porte sur leur construction au fil de l’histoire et sur les débats intellectuels et les polémiques politiques que leur fonctionnement a suscités. Il examine ensuite quelques-uns des défis (mondialisation, développement durable, rôle de l’État, en particulier) auxquels les économies de marché sont confrontées au XXIe siècle. Ainsi regard rétrospectif et regard prospectif se complètent-ils pour servir le débat public contemporain. |
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11 | 17,5 | 117 p. | Les Évangélistes du marché | Dixon Keith B | société | 2008 01/03/08 | 9782912107411 | Raisons d’agir |
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Politique et société -économie | 6,00 € 6.00 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||||
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10,5 | 16,5 | 160 p. |
Contre la dictature des marchés
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Attac B | libéralisme | 1999 01/12/99 | 9782907993920 | Syllepse |
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La Bourse ou la vie | Politique et société -économie | 5,07 € 5.07 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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L’ordre ultralibéral repose sur trois " libertés " qui, dans chaque pays, se révèlent liberticides pour la société et la majorité des citoyens : les " libertés " de circulation des capitaux, de l’investissement et du commerce. En bref sur la toute-puissance de " marchés " dictant leur loi aux élus et aux gouvernements. Cette dépossession repose sur une mystification idéologique, amplement relayée par les médias, à laquelle ce livre entend répondre. D’abord par la mise à plat d’un système dont il n’est nul besoin d’être un " expert " pour en comprendre les rouages. Ensuite par des propositions alternatives autour desquelles peuvent se fédérer des luttes nationales, européennes et internationales.
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10,5 | 16,5 | 196 p. |
Quels impôts demain ?
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Syndicat National Unifié Des Impôts | essai | économie, société | 2007 14/03/07 | 9782849501290 | Syllepse |
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Arguments et mouvements | Politique et société -économie |
8.11 2,05 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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Comment financer les mesures proposées ? Les candidats à l’élection présidentielle ne pourront éviter de débattre du système fiscal. Pavé dans la mare des idées reçues, le livre dresse un bilan de notre fiscalité en le replaçant dans le contexte de concurrence fiscale internationale. Les cinq dernières années ont en effet été marquées par une baisse régulière de l’impôt sur le revenu, et de l’importance croissante des niches fiscales, le tout ayant été justifié au nom de la concurrence entre les systèmes fiscaux et sociaux. Le livre passe ainsi en revue les évolutions des différents impôts : impôts d’État et impôts locaux. Il propose enfin une discussion sur les principales pistes de réformes fiscales avancées par les responsables politiques, avant de tracer les pistes d’une réforme fiscale en France mais également en Europe. Un outil aussi pour comprendre. Le livre souhaite rendre accessible au plus grand nombre cette question qui apparaît cantonnée aux spécialistes, mais que les citoyens cernent cependant assez bien dans ses grandes lignes.
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14,5 | 22,5 | 222 p. |
La déraison de la raison économique
Du délire d’efficacité au principe de précaution
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Latouche Serge B | essai | économie | 2001 03/04/01 | 9782226125361 | Albin Michel |
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Politique et société -économie | 18,60 € 18.60 | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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La recherche de l’efficacité est parfois assassine.
Trop d’obsession productiviste, rationnelle, rentable, organisatrice, conduit aux pires dérèglements, excès et délires. La vache folle dans l’assiette, le sang contaminé, transfusé pour des raisons d’efficacité, la vie étouffée dans les embouteillages monstres pour une quête effrénée de vitesse, le pétrole anéantissant une région sont autant de manifestations d’une raison économique devenue folle. Comment retrouver le raisonnable, la prudence, la sagesse, sans tomber dans des peurs irrationnelles et millénaristes ?.
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13 | 19 | 328 p. |
L’origine du capitalisme
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Wood Ellen Meiksins B | essai | économie, politique | 2009 16/04/09 | 9782895960720 | Lux |
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Politique et société -économie | 20,00 € 20.00 | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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Qu’est-ce que le capitalisme ? Cette question, l’histoire la pose chaque fois que ce système entre en crise, étalant au grand jour ses absurdités. Pour y répondre, il faut en comprendre les origines. Voilà ce que propose Ellen Meiksins Wood dans cet ouvrage d’une actualité brûlante. Personne ne niera que le capitalisme a permis à l’humanité d’accomplir des avancées notables sur le plan matériel. Mais il est devenu aujourd’hui manifeste que les lois du marché ne pourront faire prospérer le capital qu’au prix d’une détérioration des conditions de vie d’une multitude d’individus et d’une dégradation de l’environnement partout dans le monde. Il importe donc plus que jamais de savoir que le capitalisme n’est pas la conséquence inévitable des échanges commerciaux et marchands que l’on retrouve dans presque toutes les sociétés humaines. Le capitalisme a une histoire très singulière et un lieu de naissance bien précis : les campagnes anglaises du XVIIe siècle. En rappelant cette origine, essentiellement politique, Ellen Meiksins Wood propose une définition limpide des mécanismes et des contraintes qui font la spécificité du capitalisme. |
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13 | 21 | 144 p. |
Economie démonétisée
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Halévy Marc B | essai | économie, alternatives | 2010 02/09/10 | 9782703308478 20847 |
Dangles |
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Politique et société -économie |
18.25 7,30 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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Et si l’économie officielle, celle du PIB et du
CAC40, n’était pas la seule ? Elle ne
représente que le sixième du total de
l’économie mondiale, et les cinq sixièmes
restants sont partagés par l’économie pirate,
l’économie mafieuse et... l’économie
démonétisée. Les transactions s’y font en
l’absence des monnaies officielles : trocs,
bénévolats, "open source"... Ces économies
qui semblent marginales sont l’une des
incontournables réponses à la crise durable
des marchés.
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15 | 21 | 268 p. |
Les 10 plus gros mensonges sur l’économie
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Holbecq André-Jacques B , Derudder Philippe B | essai | économie | 2007 29/03/07 | 9782703306955 | Dangles |
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Les 10 plus gros mensonges sur | Politique et société -économie | 16,30 € 16.30 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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Aujourd’hui, Molière aurait sans doute pris pour cible les économistes au lieu des médecins. La " saignée ", panacée de son temps, aurait fait place à la " croissance ", prétendue solution à tous nos maux. Au latin a succédé un jargon incompréhensible. Seule solution : s’en remettre aux experts. Dormez bonnes gens ! Ceux " qui savent " s’occupent de votre bonheur... A défaut, ils ont, en tout cas, réussi à dégoûter de l’économie " M. et Mme Tout-Le-Monde ". Ce n’est pas leur lecture de chevet. Puisse ce livre changer la donne, car Derudder et Holbecq le disent : tant que le citoyen ne reprendra pas le pouvoir sur l’économie, il en restera l’esclave. L’ambition de cet ouvrage est donc d’aider chacun à reprendre ce pouvoir en se libérant de la manipulation qu’exerce sur nous des théories assénées en vérités absolues, des idées toutes faites et de fausses croyances. Si vous croyez notamment que : les banques prêtent l’argent des épargnants, baisser les prix, c’est défendre le pouvoir d’achat, la dette publique appauvrit la Nation, il faut la rembourser, il faut soutenir la croissance pour dynamiser l’emploi, alors, ce livre est fait pour vous : ne vous laissez pas désinformer plus longtemps ! Un ouvrage facile à lire, documenté et riche de pistes pour un avenir plus humain. |
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14 | 20,5 | 359 p. |
Antimanuel d’économie - Tome 1, Les fourmis
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Maris Bernard B | essai | économie | 2003 06/11/03 | 9782749500782 | Bréal |
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Antimanuel | Politique et société -économie | 21,50 € 21.50 | épuisé, réédité avec l'ean 9782749539492 | ||||||||||||||||||||||
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Peut-on échapper à l’économie ? Elle imprègne fart, le sport, le sexe et la guerre ; elle engage le quotidien de la ménagère comme celui du manager. La " marchandisation de la vie " devient l’hymne de l’époque, et les économistes sont ses farauds apôtres, capitaines autoproclamés à la proue du " progrès " de l’humanité. Le rationnel est leur sextant, le quantifiable est leur boussole. Entre toi de la jungle et productivisme acharné, cartels et stock-options, la statistique quadrille leur parcours. Des kilos d’équations lestent leur " raison raisonnante ". Tout juste admettent-ils qu’une main invisible leur vient parfois en aide, altruiste ou impérieuse selon les cas. C’est oublier que l’homme n’est pas, mais alors pas du tout, rationnel. Et que l’économie est avant tout une réflexion sur le partage. Qui regarde le gâteau, qui tient le couteau ? Une autre économie est-elle possible ? L’esperanto économique est-il le jargon d’une science dure, le sabir d’une science motte, ou le cache-misère d’une science nulle ? Traquant les fioritures et les pseudo-concepts, cet Antimanuel permet à chacun de s’armer pour comprendre la harangue des chefs de la guerre économique. Car dans le monde des comptes, il ne faut pas s’en laisser conter. Sur un ton léger mais incisif, Bernard Maris convoque tour à tour des économistes, de Keynes à Stiglitz, mais aussi, plus inattendus, des philosophes ou des romanciers : Montesquieu, Swift, Jarry, Maupassant, Orwell ou Houellebecq... Ensemble, ils posent enfin un regard neuf sur une discipline réputée austère et répondent à des questions fondamentales : qu’est-ce que la valeur ? la monnaie ? la richesse ? La croissance est-elle une vertu ? Qui osera désormais dire que l’économie est ennuyeuse ? |
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13 | 20 | 222 p. |
La France surendettée ?
Une réponse écologiste
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Morel Hervé B | essai | économie, France, dette | 2011 06/01/11 | 9782915879841 | Les Petits Matins |
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Politique et société -économie |
16.00 4,80 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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1 600 milliards d’euros ! C’est le montant actuel de la dette publique, qui s’accroît chaque mois. Pire : l’Etat n’emprunte plus pour rembourser ses dettes, mais pour payer les intérêts sur les emprunts accumulés. Comment en est-on arrivé là ? Ce livre montre que l’endettement trouve son origine dans des politiques erronées, fondées sur des théories dépassées. Le " grand J " de la vulgate keynésienne mis en oeuvre par la social-démocratie tout comme le " ruissellement de la richesse " prôné par les libéraux ont accru les déficits. Et la dérégulation de la finance n’a fait qu’amplifier le problème. Aujourd’hui, des solutions existent pour interrompre les machines à fabriquer du déficit : elles passent par des investissements socialement et écologiquement utiles, sur la base d’un contrat avec les épargnants. La réponse écologiste à la dette implique plus de dialogue démocratique : une bonne nouvelle, en somme ! |
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14 | 22,5 | 381 p. |
Vers un nouveau capitalisme
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Yunus Muhammad | essai | économie | 2008 19/08/08 | 9782709629140 | JC Lattès |
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Politique et société -économie | 19.80 3,95 € | manquant sans date | |||||||||||||||||||||||
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Un an après avoir reçu le prix Nobel de la paix, Muhammad Yunus, le banquier des pauvres, présente sa vision d’un nouveau modèle économique associant le libre fonctionnement du marché à la recherche d’un monde plus humain. S’appuyant sur le succès du microcrédit qu’il initia au Bangladesh, il propose de créer des entreprises d’un type nouveau.
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15 | 21 | 128 p. |
Manuel d’économie à l’usage de celles et ceux qui n’y comprennent rien
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Mignard Patrick B | essai | économie | 2006 30/09/06 | 9782912580054 | AAEL |
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Politique et société -économie | 7,10 € 7.10 | épuisé | |||||||||||||||||||||||
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« J’y comprends rien ! », « j’ai pas les bases », « c’est pas mon trip ! », « l’éco, très peu pour moi ! » ... ces réflexions désabusées et fatalistes que chacun(e) a entendues et entend, n’en finissent pas d’annoncer la capitulation des citoyens(nes) face à un système qu’ils ne comprennent pas. De même qu’il est inadmissible de ne pas savoir si c’est un cancer ou un simple rhume que l’on a, à la lecture d’un diagnostique médical, il est inacceptable que les citoyens(nes) demeurent dans l’ignorance quasi totale quant aux mécanismes fondamentaux d’un système qui constitue la trame de la vie sociale. Sachons une bonne fois pour toutes ce qui se joue dans notre société. Alors on cesse de croire les gourous de la pensée unique et du politiquement acceptable et on se donne les moyens de comprendre, de réfléchir, de décider et d’agir. |
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11 | 18 | 276 p. |
Au-delà du PIB
pour une autre mesure de la richesse
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Méda Dominique B | essai | économie | 2008 26/05/08 | 9782081216518 | Flammarion | »» | Politique et société -économie |
7.20 1,45 €
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présent à Plume(s) | |||||||||||||||||||||||
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La conception actuelle de la richesse demeure liée à la production marchande, mais sont ignorés les signes ou sources de richesses que sont le niveau d’éducation, le degré de violence, l’état de santé général de la population, l’environnement...
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14 | 19 | 52 mn |
L’argent dette
les secrets de la finance mondiale
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Grignon Paul | doc | Bankster.tv | »» | Politique et société -économie | 14,95 € 14.95 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||||||
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La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques et enfle de plus en plus démesurément de jour en jour. D’ou vient tout cet argent ? Comment peut-il y avoir TANT d’argent à prêter ? La réponse est... qu’il n’y en a pas. De nos jours, L’ARGENT S’EST FAIT DETTE. S’il n’y avait PAS DE DETTE Il n’y aurait PAS D’ARGENT Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, vous n’êtes pas le seul ou la seule. Très peu de gens comprennent ce système, même si nous sommes tous touchés. Ce long métrage d’animation, dynamique et divertissant, de l’artiste et vidéographe Paul Grignon, explique les effets magiques mais pervers du SYSTEME ACTUEL D’ARGENT-DETTE dans des termes compréhensibles pour tous Nous vous présentons le chef d’oeuvre de Paul Grignon pour la première fois disponible avec une bande son française et textes en français ! Où naissent les pommes de terre ? — Dans le champ du cultivateur. Où naissent les petits veaux ? — Dans l’étable. Où naissent les prunes ? — Sur le prunier. Tout le monde sait cela. Mais posez maintenant la même question au sujet de l’argent : Où naît l’argent ? Où est né le billet de papier que j’ai dans ma poche ? Qui est-ce qui l’a mis au monde, pour quelle raison, et à quelles conditions ? Où sont nés les milliards et les milliards avec lesquels les gouvernements financent la guerre, eux qui constatent en permanence qu’il n’y a pas assez d’argent dans le pays pour financer simplement des travaux ordinaires ? Puis, où va l’argent quand on ne le voit plus ? Où nait et où meurt l’argent ? Posez ces questions, et dites combien d’hommes peuvent vous répondre. Ce n’est ni le bon Dieu ni la température qui font l’argent. L’argent ne se fait pas tout seul ? Qui est-ce qui le fait ? Qui est-ce qui a su en faire autant qu’il en a fallu pour tenir la guerre ? Et pourquoi ceux qui ont fait l’argent pour conduire les guerres n’en faisaient-ils pas auparavant pour régler les crises et les problèmes ? L’Argent Dette vous révélera l’histoire de la mystérieuse naissance de l’argent. L’Argent Dette est un formidable outil pédagogique pour combler les lacunes de tout un chacun concernant la création monétaire. Il a été diffusé, souvent sans le consentement de l’auteur, dans des universités, durant de nombreux séminaires ou pendant des conférences altermondialistes. |
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11 | 18 | 220 p. |
Jusqu’à quand ?
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Lordon Frédéric B | essai | économie | 2008 23/10/08 | 9782912107428 | Raisons d’agir |
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Politique et société -économie | 8,00 € 8.00 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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Le manuscrit de cet ouvrage a été arrêté fin août 2008. Ses épreuves sont relues le 22 septembre. Entre temps survient une « décade prodigieuse » – du 10 au 20 septembre 2008 – qui a de quoi changer la face du monde néolibéral. Dépassé avant même parution ? Ce serait le cas si ce livre avait eu la visée d’une chronique de crise. Pour le coup, il en aurait loupé un gros bout ! Et, même repris à la hâte, se serait condamné à la fatalité de l’obsolescence – ou bien au chantier d’une écriture sans fin, car, en cet automne 2008, la décomposition financière prend un cours torrentiel qui rend parfaitement caduc le commentaire en temps réel dans l’instant où il est produit. Mais la perspective de ce livre n’est pas celle-là. Les événements auxquels il est fait référence n’y sont pas mobilisés au titre de la consignation des faits mais comme support d’une analyse – au demeurant, le livre serait très incomplet même si l’horloge s’était arrêtée fin août 2008, et c’est à dessein qu’il a laissé de côté bon nombre d’événements croustillants qu’un historien de la période ne manquera pas d’enregistrer. Aussi, que la « facture » du sauvetage de Fannie Mae et Freddie Mac soit montée à 200 milliards de dollars alors qu’elle n’était « que » de 25 milliards au moment où le livre était achevé, qu’il faille rajouter Lehman Brothers, Merrill Lynch et AIG à la liste, décidément interminable, des faillis ou des grands brûlés, qu’il n’y ait plus de banques d’affaire aux Etats-Unis ( !), qu’une structure de cantonnement géante destinée à purger d’un coup le système financier constitue une délicieuse irruption de socialisme seule à même de sauver le capitalisme étasunien du désastre, tout cela, qui est considérable en soi, et même inouï, n’altère pas, au contraire, la thèse que la première année de crise suffisait largement à étayer : l’analyse des nuisances intrinsèques de la finance libéralisée appelle son impérative mise au pas, c’est-à-dire une réaction politique de première grandeur. En définitive le cours stupéfiant pris par la crise depuis le 12 septembre 2008 ne change fondamentalement qu’une chose – mais importante : il a littéralement pulvérisé toutes les stratégies « du fil de l’eau » qui pensaient s’en tirer avec quelques bonnes paroles – le cas échéant on irait jusqu’aux martiales déclarations –, un ersatz de « régulation » à base de transparence et de vertu, et les effets de l’oubli pour, une fois le choc amorti, laisser les affaires reprendre gentiment leur cours sans avoir rien changé de significatif. Cette disposition d’esprit qui prévalait encore à la fin de l’été 2008 a été anéantie. Nul ne peut plus feindre d’ignorer que ce sont les structures mêmes des marchés de capitaux libéralisés qui sont en question, et que les laisser à l’identique vaut ipso facto renouvellement de l’abonnement « crise et krach ». Arraisonner la finance n’est plus une option. |
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15 | 21,5 | 390 p. |
60 questions, 60 réponses sur la dette, le FMI et la Banque mondiale
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Millet Damien B , Toussaint Éric B | essai | économie, international | 2008 30/09/08 | 9782849501733 | Syllepse |
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La Bourse ou la vie | Politique et société -économie | 18,50 € 18.50 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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Depuis la crise de la dette qui a éclaté en 1982, malgré leurs richesses naturelles et humaines, les pays du tiers-monde sont saignés à blanc. Le remboursement d’une dette devenue colossale prive leurs populations de la satisfaction des besoins les plus élémentaires. La dette est devenue un mécanisme très subtil de domination et le moyen d’une nouvelle colonisation. Les politiques appliquées par les gouvernements endettés sont plus souvent décidées par les créanciers que par le Parlement des pays concernés. La dernière initiative d’allégement de la dette, lancée par le G8 en 2005, ne change pas la donne. Une approche radicalement différente doit être envisagée : l’annulation pure et simple de cette dette, immorale et souvent odieuse. Les auteurs répondent à différentes objections. Une fois libérés de leur dette extérieure, les pays ne risquent-ils pas de retomber dans le piège d’un endettement insoutenable ? Les régimes dictatoriaux et corrompus ne vont-ils pas bénéficier d’un second souffle grâce à l’annulation de la dette ? Les contribuables des pays du Nord ne vont-ils pas faire les frais d’une annulation ? Chine, Amérique latine, fonds vautours, quel rôle pour ces nouveaux acteurs de premier plan ?, etc. Les auteurs montrent que l’annulation de la dette, condition nécessaire mais non suffisante, doit être accompagnée d’autres mesures : récupération des « biens mal acquis », juste redistribution des richesses au niveau mondial, voies alternatives de financement. Ils posent aussi la question : qui doit à qui ? En 60 questions/réponses, cet ouvrage explique d’une manière simple et précise comment et pourquoi on en est arrivé à l’impasse de la dette. Illustré de graphiques, de cartes géographiques et de tableaux, il montre clairement la responsabilité des tenants du néolibéralisme, des institutions financières internationales, des pays industrialisés mais aussi la complicité des dirigeants du Sud. Cinq ans après la parution du livre 50 questions 50 réponses sur la dette, le FMI et la Banque mondiale, cette version actualisée et complétée décrypte le discours officiel et envisage les scénarios possibles pour sortir de l’impasse. |
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11 | 17 | 224 p. |
Reconsidérer la richesse
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Viveret Patrick B | essai | économie | 2008 10/10/08 | 9782752605191 | l’Aube |
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Aube poche | Politique et société -économie | 10,00 € 10.00 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
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réédité : Reconsidérer la richesse
« Aujourd’hui, deux catégories d’êtres humains sont à fond de cale : les pauvres, qu’on proscrit au motif que les conditions de misère, d’exclusion, d’absence de soins, etc., dans lesquelles on les place leur interdisent toute dignité d’être humain, mais également les riches et les puissants qui, en s’enfermant dans une logique où les autres sont considérés comme des rivaux, se condamnent à vivre cette magnifique aventure de l’existence à la surface des réalités, dans la solitude et finalement le désespoir. » Tel est le constat dressé par Patrick Viveret, qui nous exhorte à réamorcer d’urgence le dialogue sur les valeurs humanistes et les engagements sociaux. |