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20,5
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112 p.
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La théorie du grain de sable
T
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Schuiten et Peeters |
BD
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2007
24/08/07
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9782203343238 |
Casterman
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Les Cités obscures
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BD
-anticipation
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17,50 €
17.50
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Brüsel, 21 juillet 784. Constant Abeels répertorie avec patience les pierres qui se matérialisent mystérieusement dans les différentes pièces de son appartement. Toutes pèsent exactement le même poids : 6793 grammes – un nombre premier… Dans un immeuble voisin, une mère de famille constate, de la même manière, que du sable s’accumule avec régularité dans son appartement, à la grande joie de ses enfants, tandis qu’un peu plus loin, le patron et chef cuisinier de la célèbre brasserie Maurice découvre qu’il perd du poids, sans maigrir pour autant… Et ces étranges phénomènes ne font que s’accentuer à mesure que passent les jours. C’est pour enquêter sur ces faits insolites qu’une femme arrive spécialement de Pâhry : Mary Von Rathen, celle qu’on a autrefois surnommée “l’enfant penchée”. Elle découvre bientôt que la plupart de ces phénomènes semblent reliés à la personne de feu Gholam Mortiza Khan, un guerrier Bugtis venu tout récemment à Brüsel pour vendre des bijoux, et malencontreusement renversé par un tram en sortant d’un rendez-vous à la maison Autrique… Dans une profusion de décors urbains d’une richesse et d’une inventivité exceptionnelles, Schuiten et Peeters renouent avec les atmosphères inimitables du cycle des Cités Obscures, pour une intrigue prenante qui renoue avec le souffle de leurs meilleurs albums…
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242 p.
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Bételgeuse- l’intégrale
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2006
16/11/06
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9782205059304 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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39,00 €
39.00
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épuisé, réédité avec l'ean 9782205079203
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Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années. L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse.
Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoqués par la folie des hommes. Leo, son auteur, met en scène dans Alébarban puis Bételgeuse et bientôt Antarès, une fantastique épopée humaniste.
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22,5
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57 p.
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Antarès - épisode 1
T
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2007
20/04/07
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9782205058895 |
Dargaud
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Les Mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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12,00 €
12.00
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Les trois cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoqués par la folie des hommes. Leo, son auteur, met en scène, dans Aldébaran puis Bételgeuse et Antarès, une fantastique épopée humaniste.
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264 p.
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Les mondes d’Aldébaran
L’intégrale
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BD
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écologie, fantastique
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2010
03/12/10
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9782205067118 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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39,00 €
39.00
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épuisé
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Les trois cycles des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
Son auteur, Leo, y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives de coloniser des planètes lointaines. On suit de parcours de Kim sur Aldébaran d’abord, puis sur Bételgeuse et Antarès. Elle est confrontée à bien des aventures et des défis, croisant d’étranges créatures et des paysages majestueux, devant faire face aux dégâts provoqués par la folie des hommes. Cette fantastique épopée humaniste s’enrichit, en 2011, d’une série parallèle aux Mondes d’Aldébaran sous le titre Survivants (anomalies quantiques).
On y découvre une nouvelle héroïne, Manon, et un groupe de onze rescapés de l’accident qui a détruit leur vaisseau parti pour Aldébaran. Ils réussiront, à bord d’une petite navette, à se poser sur une planète inconnue située à un carrefour des routes de l’espace.
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20,5
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120 p.
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La théorie du grain de sable T2
T
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Schuiten et Peeters |
BD
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2007
31/07/07
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9782203343269 |
Casterman
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Les Cités obscures
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BD
-anticipation
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17,50 €
17.50
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manquant sans date
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Brüsel, 21 juillet 784. Constant Abeels répertorie avec patience les pierres qui se matérialisent mystérieusement dans les différentes pièces de son appartement. Toutes pèsent exactement le même poids : 6793 grammes – un nombre premier… Dans un immeuble voisin, une mère de famille constate, de la même manière, que du sable s’accumule avec régularité dans son appartement, à la grande joie de ses enfants, tandis qu’un peu plus loin, le patron et chef cuisinier de la célèbre brasserie Maurice découvre qu’il perd du poids, sans maigrir pour autant… Et ces étranges phénomènes ne font que s’accentuer à mesure que passent les jours. C’est pour enquêter sur ces faits insolites qu’une femme arrive spécialement de Pâhry : Mary Von Rathen, celle qu’on a autrefois surnommée “l’enfant penchée”. Elle découvre bientôt que la plupart de ces phénomènes semblent reliés à la personne de feu Gholam Mortiza Khan, un guerrier Bugtis venu tout récemment à Brüsel pour vendre des bijoux, et malencontreusement renversé par un tram en sortant d’un rendez-vous à la maison Autrique…
Dans une profusion de décors urbains d’une richesse et d’une inventivité exceptionnelles, Schuiten et Peeters renouent avec les atmosphères inimitables du cycle des Cités Obscures, pour une intrigue prenante qui renoue avec le souffle de leurs meilleurs albums…
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48 p.
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Aldébaran 2 - la blonde
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2000
27/10/00
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9782205049688 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldebaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldebaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldebaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse. Une série captivante fondatrice de ce qui deviendra "Les Mondes d’Aldébaran" !
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Aldébaran 1 - la catastrophe
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2001
08/01/01
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9782205049671 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldébaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldébaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldébaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse. Une série captivante qui sera bientôt suivie par un nouveau cycle : Bételgeuse.
La planète Aldebaran est coupée de tout contact avec la terre depuis un siècle. Les habitants d’Arena Blanca, un petit village de pécheurs, y mènent une vie paisible, loin du pouvoir tyrannique exercé par l’église et l’armée. Jusqu’au jour où toutes sortes de signes étranges semblent annoncer une catastrophe. Un énorme poisson des hauts-fonds vient mourir sur la plage, tandis que la mer se vide de ses poissons habituels, avant de se solidifier et d’avaler un bateau.
Et la catastrophe arrive, sous la forme d’un monstre marin qui engloutit le village sous une substance gluante. Ce monstre, qui change de forme et de comportement selon son humeur - généralement mauvaise - intéresse beaucoup de gens : Driss Shediac, un étranger énigmatique qui a essayé de prévenir les habitants, mais personne ne l’a cru. La jolie journaliste Gwendoline Lopes et surtout, l’inquiétant prêtre Loomis dans son dirigeable militaire.
Parmi les rares survivants, Marc et Kim, deux adolescents qui s’entendent comme chien et chat, décident de partir pour Anatolie, la capitale, et d’y recommencer leur vie à zéro.
Pour son premier album en solo, Léo, dessinateur de la série Trent, invente un monde envoûtant et fantastique, plein de mystères, d’embûches et d’amours compliqués, dans le très joli décor d’une planète finalement plus inquiétante que prévu.
lire un extrait
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Aldébaran 5 - la créature
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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1999
09/11/99
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9782205049718 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00
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Flash-back : Aldebaran, la planète où s’est établie la première colonie humaine hors du système solaire, est aux mains d’un régime totalitaire, et nos héros sont traqués par la police. Parmi eux, Marc et Kim, rescapés du village d’Arena Blanca englouti par la bave de la mantrisse ; Alexa et Driss qui, depuis cent ans, bénéficient d’un élixir de jeunesse distribué par la même mystérieuse mantrisse.
Les voilà échoués avec leurs amis dans un gigantesque marécage infesté de monstres carnivores. Certains essaient de rejoindre la mer à dos de théodores, sympathiques herbivores, tandis que les autres descendent la rivière dans une grosse calebasse vide.
Mais alors qu’ils atteignent enfin la mer, un dirigeable se profile dans le ciel avec, à son bord, le gouvernement au complet.
Dieu merci, la mantrisse est intelligente. Elle sait reconnaître les siens et ne distribue pas son élixir de jeunesse - le plus vieux rêve de l’humanité - à n’importe qui.
Léo boucle en beauté le cycle Aldebaran, série qui se situe entre SF et fantastique, et dont le scénario envoûtant et attachant est soutenu par des inventions graphiques captivantes : les monstres sont " inédits " et franchement infects, et le fonctionnement de la mantrisse, créature d’architecture étrange et improbable, arrive à nous étonner. Heureusement, l’histoire n’est pas finie, car l’auteur nous annonce le départ d’un astronef pour Bételgeuse, constellation d’Orion...
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Aldébaran 3 - la photo
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
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1999
27/10/99
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9782205049695 |
Dargaud
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-anticipation
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13,00 €
13.00
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Nous retrouvons Aldebaran, la planète où a été fondée la première colonie humaine hors du système solaire. Les habitants d’Arena Blanca y vivaient heureux, loin de la tyrannie de l’armée et de Monseigneur Algernon Loomis, jusqu’à ce qu’un monstre marin les engloutisse sous une marée de bave.
Parmi les rescapés, Marc et Kim, deux ados qui s’entendent comme chien et chat, tentent de rejoindre Anatolie, la capitale. C’est là qu’ils tombent sur "la blonde", Alexa, biologiste et amie de Driss, l’homme qui en savait long sur la catastrophe d’Arena.
Marc croupit dans une prison depuis trois ans et demi, mais Monsieur Pad, curieux petit bonhomme et magouilleur de première, le fait évader.
A Anatolie, Marc retrouve Gwen, la fille du sénateur Valdomiro Lopes, José le musicien, et Kim, qui a changé : d’ado anguleuse, elle est devenue une bien jolie jeune fille. Mais les choses n’étant jamais simples, José est amoureux de Kim, qui aime Marc, qui aime sûrement Kim mais ne le sait pas encore.
Quant à Driss et Alexa, ils sont sur une île, en train de guetter l’arrivée des grégoires, sympathiques bestioles d’environ cinq tonnes qui seraient l’une des formes de la mantrisse, le colossal monstre marin doué d’intelligence.
Pendant ce temps, Marc, Kim et Monsieur Pad s’introduisent clandestinement au musée d’Anatolie et étudient d’étranges photos qui, décidément, posent sur Alexa et Driss une foule de questions sans réponse.
Après la Catastrophe et la Blonde, le troisième volet d’une aventure envoûtante, entre fantastique et SF, pleine de mystères, d’inventions pittoresques et d’amours compliquées.
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Aldébaran 4 - le groupe
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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1999
06/10/99
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9782205049701 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00
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Pour les colons terriens qui occupent la planète Aldebaran, tout semble planifié. Mais peu à peu des événements insolites se produisent. Sans nouvelles de la Terre, Aldebaran est isolée. Coupés de tout contact, les habitants d’Aldebaran doivent faire face à plusieurs bouleversements aux conséquences inquiétantes. Le danger principal semble venir de l’océan d’où surgissent des créatures monstrueuses et hostiles. Mais qui possède vraiment une explication à cette évolution aussi terrifiante qu’incontrôlable ? Marc et Kim, deux adolescents qui ont survécu à l’anéantissement de leur village, rejoignent la capitale, Anatolie, afin de trouver une réponse.
Une série captivante qui sera bientôt suivie par un nouveau cycle : Bételgeuse.
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Bételgeuse t 5 : l’autre
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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2005
26/08/05
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9782205056365 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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13,00 €
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Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivantes séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’Humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégâts provoques par la folie des hommes.
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Bételgeuse t 3 : l’expédition
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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2002
04/05/02
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9782205052312 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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12,00 €
12.00
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Après leur arrivée périlleuse sur Bételgeuse, Kim et ses compagnons explorent cette planète, en quête de réponses sur ses habitants les plus surprenants, les lums.
Une expédition est alors organisée dans les profonds et sauvages canyons de Bételgeuse. C’est dans ce milieu hostile que Kim découvrira que le danger n’est pas forcément là où on l’attend.
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Bételgeuse t 1 : la planète
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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2000
15/01/00
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9782205049022 |
Dargaud
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Les mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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AA
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Bételgeuse, planète interdite ? Les colons ont de bonnes raisons de croire au pire.
Ecosystème détraqué, monstres surgis de nulle part, dictature impitoyable, sans oublier ce vaisseau abandonné, perdu dans l’espace, qui tourne autour de Bételgeuse, tel un tombeau étincelant.
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Bételgeuse t 4 : les cavernes
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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2003
23/10/03
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9782205054750 |
Dargaud
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Les mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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12,00 €
12.00
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AA
Les deux cycles existants de la collection des Mondes d’Aldébaran constituent incontestablement l’une des plus captivante séries de science-fiction de ces dernières années.
L’auteur y raconte l’effort de l’humanité dans ses premières tentatives pour coloniser des planètes lointaines. Kim, confrontée à bien des aventures et des défis, débute son périple sur la planète Aldébaran puis sur Bételgeuse. Elle croisera d’étranges créatures, affrontera les dangers de mondes inconnus et subira les dégats provoqués par la folie des hommes. Leo ; son auteur, met en scène dans Aldébaran puis Bételgeuse et bientôt Antarès, une fantastique épopée humaniste.
lire un extrait
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Bételgeuse t 2 : les survivants
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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2001
01/03/01
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9782205049879 |
Dargaud
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Les mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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12,00 €
12.00
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AA
AA
Le vaisseau parti coloniser la planète Bételgeuse n’a plus donné signe de vie depuis six ans.
Que s’est-il passé ? Quel lien existe-t-il entre ces événements et la Mantrisse, cette mystérieuse créature qui vit dans les gigantesques océans d’Aldébaran ? Partis à la recherche de réponses, Kim et ses compagnons sont à leur tour pris au piège et doivent se poser en catastrophe sur Bételgeuse.
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Urani (la ville des mauvais rêves)
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B. David BIl est né en 1959 à Nîmes. Il s’inscrit à l’Ecole d’Arts Appliqués Dupérré à Paris puis suit les cours de B.D de Georges Pichard.
Il travaille pour plusieurs magazines tel que Chic, Okapi, Circus, etc. avant de rejoindre l’équipe de Labo créé par J.C Menu chez Futuropolis. Il fait ensuite partie des fondateurs de L’Association où il a publié Le Cheval blême en 1992. Avec la fondation des Editions Cornélius, il sort le Nain Jaune et la série des 4 savants. En 1996 L’Ascension du haut-Mal est nominé à Angoulême pour le Prix du Meilleur Album de l’année. Il a reçu également le Totem B.D du Salon du livre de Montreuil pour La révolte d’Hop-Frog ainsi que le prix de la meilleure B.D au Festival du livre de Brive. Chez Albin Michel, il a illustré Sagesse et Malices de Nasreddine, le fou qui était sage-tome 1. , Sfar Joann BIl naît à Nice en 1971, d’une mère chanteuse et d’un père avocat.
Il grandit dans la culture juive, ashkénaze et séfarade à la fois, apprend l’hébreu et les préceptes de la Torah, mais fréquente l’école publique. Très tôt, et avec l’abondance qui le caractérise encore aujourd’hui, il invente et dessine des histoires, lui dont le patronyme vient de sofer, « scribe » en hébreu. Dès l’âge de quinze ans, il envoie à des éditeurs un projet de bande dessinée par mois, que tous lui refusent avec la même régularité. Plus tard, il rencontre Fred, Baudoin et Pierre Dubois, qui resteront pour lui de véritables pères spirituels.
Après une maîtrise de philosophie à l’université de Nice, il entre aux Beaux-Arts de Paris et se passionne pour les cours de morphologie. En 1993, il passe la porte de l’atelier Nawak, futur atelier des Vosges, où il fera la connaissance de Lewis Trondheim, David B., Jean-Christophe Menu, Emmanuel Guibert, Christophe Blain, Émile Bravo, Marjane Satrapi.
Un beau mois de 1994, trois maisons différentes lui proposent d’éditer son travail. Son premier album, "Noyé le poisson", est publié cette année-là par L’Association. Depuis, avec un foisonnement qui n’a que l’apparence du désordre, Joann Sfar compose une œuvre d’une originalité absolue. La profondeur de ses histoires n’exclut jamais la drôlerie ou la sensualité. Ses personnages ont la truculence de ceux d’Albert Cohen. Et le plaisir de dessiner est chez lui aussi communicatif que chez Quentin Blake. Il est de ceux grâce auxquels la bande dessinée s’est éveillée à une vie nouvelle. |
BD
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2000
03/10/00
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9782205047950 |
Dargaud
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BD
-anticipation
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12,00 €
12.00
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AA
AA
Joan Sfar et David B. nous offrent un superbe album concept : le scénario est écrit à quatre mains, et ils se partagent aussi équitablement le dessin ... par trois séries de trois planches consécutives.
Le résultat est un étonnant mélange graphique, un album sombre au ton décalé et à l’irrésistible inventivité.
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48 p.
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Antarès - épisode 2
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2009
20/02/09
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9782205061857 |
Dargaud
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Les Mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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13,00 €
13.00 2,60 €
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présent à Plume(s)
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Kim et sa fille Lynn intègrent le vaisseau des colons et sont confrontées à leur idéologie religieuse intolérante. Parvenus sur la planète, les passagers découvrent que ce lieu dissimule bien des dangers.
lire un extrait
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Animal’z
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Bilal Enki |
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écologie
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2009
11/03/09
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9782203019669 |
Casterman
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BD
-anticipation
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19,00 €
19.00
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Dans ce monde dont on ne sait trop s’il est l’émanation d’une histoire parallèle ou simplement le récit de notre futur, le dérèglement climatique s’est brutalement généralisé. La catastrophe porte un nom : le Coup de Sang. Sur la planète dévastée, martyrisée, l’eau potable est soudain devenue un trésor, et la survie individuelle l’obsession de chacun. Désormais, les transports sont rares et dangereux, les communications aléatoires. Seuls quelques Eldorados très isolés, refuges protégés par leur situation géographique particulière, ont réussi à préserver un semblant d’ordre social. On ne peut les rejoindre que par la mer, immense ; l’unique milieu naturel, peut-être, qui conserve quelque chance de perdurer en ces temps d’incertitude absolue ...
Tel est le décor, fascinant, qui sert d’écrin à Animal’z, le nouveau récit futuriste d’Enki Bilal. Fidèle à ses thèmes de prédilection (la fiction conjecturale, en étroite résonance avec les convulsions et les névroses collectives de notre présent), l’auteur de La Trilogie Nikopol explore les conséquences possibles des dommages infligés au climat, dans un registre graphique nerveux qui comblera les attentes de ses très nombreux fidèles. Déroutant, surprenant, passionnant : un one-shot d’une centaine de pages à savourer sans retenue. Du très grand Bilal.
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23
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30
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57 p.
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Antarès - épisode 1
édition spéciale
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Leo B De son véritable nom Luis Eduardo de Oliveira, il est né à Rio de Janeiro (Brésil) en 1944.
Passionné de dessin, il entre cependant à l’université et suit des études d’ingénieur. En 1968, après avoir obtenu son diplôme, il milite activement au sein de la gauche étudiante. En 1971, il quitte le Brésil pour échapper à la répression de la dictature militaire. Il s’installe au Chili, puis en Argentine, avant de revenir clandestinement dans son pays en 1974, à Sâo Paulo.
Il renonce alors à l’engagement politique et décide de se consacrer au dessin. Il débute sa carrière d’illustrateur au sein d’une entreprise américaine. Au bout de un an, lassé de ce travail alimentaire, il propose ses illustrations à différents journaux. Sa première bande dessinée, une histoire de science-fiction, est publiée dans la revue O Bicho au milieu des années 70. À la même époque, il découvre la BD européenne dans les pages de Pilote et de Métal hurlant.
Coup de foudre immédiat. Décidé à tenter sa chance en France, il s’installe à Paris en 1981. Mais le succès se fait attendre. Malgré quelques récits publiés dans l’Écho des Savanes (1982) et Pilote (1985), il se voit contraint de travailler pour la publicité. Le déclic se produira en 1986 : Jean-Claude Forest, le créateur de Barbarella, lui propose de dessiner des histoires réalistes pour le magazine Okapi. En 1989, Léo illustre la vie de Gandhi dans un album publié par Les Editions Centurion. L’une de ces histoires attire l’attention du scénariste Rodolphe, qui lui confie le dessin de Trent, sa nouvelle série. Le premier album, « l’Homme mort », paraît en 1991.
Cette fois, la carrière de Leo est lancée. Deux ans plus tard, en 1993, il réalise un vieux rêve : il publie le premier des cinq tomes d’Aldébaran, saga de science-fiction dont il est à la fois scénariste et dessinateur. Puis en 2000 paraît le premier volet du cycle de Bételgeuse, la suite d’Aldébaran. Infatigable, Leo n’hésite pas à mener de front plusieurs projets. Il met en chantier de nouvelles séries, comme dessinateur mais aussi comme scénariste, tout en poursuivant Trent et Bételgeuse.
Ainsi, octobre 2000 marque la parution du premier épisode de Kenya, un récit mêlant action et fantastique élaboré avec son complice Rodolphe. En mai 2002 sortira au même moment que Bételgeuse le premier volume de Dexter London, histoire écrite par Leo pour Sergio Garcia, déjà auteur de Géographie Martienne. |
BD
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SF
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2009
19/02/09
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9782205063066 |
Dargaud
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Les Mondes d’Aldébaran
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BD
-anticipation
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5,99 €
5.99
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épuisé
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Suite directe du second cycle des « Mondes d’Aldébaran » (Bételgeuse), Antarès démarre en trombe un troisième cycle captivant.
Cette fois Kim retourne dans un premier temps sur Terre, à Paris, où elle tente de décompresser. Mais sa notoriété grandissante, en tant que leader du groupe de la Mantrisse dont on connaît désormais le secret, ne lui laisse guère le temps de se reposer. Kim intéresse par exemple de très près une mystérieuse et mysthique organisation qui projette de coloniser la planète Antarès. En attendant un groupe de trois éclaireurs vivent sur cette planète afin d’observer le milieu dans lequel vivront les futurs colons. Et, évidemment, des phénomènes étranges inquiètent les responsables qui font appel à Kim et à son expérience due à son passage sur Aldébaran et Bételgeuse.
Mais, ce que personne ne sait, c’est que Kim cache sans le savoir un secret qui va tout changer !
Une série majeure de la science fiction d’aujourd’hui récompensée par un immense succès en librairie. Ce nouveau cycle comportera, comme pour Aldébaran et Bételgeuse, cinq albums en tout.
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17
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25,5
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164 p.
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Point de rupture T1
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Trillo Carlos BScénariste éclectique et prolifique argentin, né en 1943 à Buenos Aires, il travaille dans le monde de la bande dessinée avec Jordi Bernet, Eduardo Risso, Mandrafina ou encore Carlos Meglia, récemment disparu.
Parmi ses séries les plus connues, La Grande Arnaque, réalisée avec Mandrafina, a reçu le prix du meilleur scénario à Angoulême en 1999. On peut également admirer son travail et la qualité de ses dialogues sur Les Spaghetti Brothers, Vieilles canailles et Cybersix. Son album le plus récent s’intitule L’Héritage du Colonel, dessiné par Lucas Varela, publié aux Éditions Delcourt. Co-auteur d’ores et déjà avec Risso de Fulù, Je suis vampire et Chicanos, il créé avec Point de Rupture (Borderline en VO) un futur dystopique désespéré et oppressant d’où émerge tout de même une lueur d’espoir et d’amour. , Risso Eduardo BNé en 1961 en Argentine près de Cordoba, il débute une carrière de dessinateur de bande dessinée à 20 ans à peine. Son sens de la composition et de la gestion du noir & blanc fait mouche sur de nombreuses séries telles que Fulù, Je suis Vampire, Chicanos et bien entendu Point de Rupture (Borderline en VO) avec son compère Carlos Trillo, mais aussi Cain (sur un scénario de Barreiro). Travaillant à l’instar de Carlos Trillo avec les éditeurs du monde entier, il est également le dessinateur attitré de 100 Bullets chez DC Comics sur un scénario de Brian Azzarello. Risso a glané de nombreux prix au cours de sa carrière, parmi lesquels 4 Eisner Awards et 3 Harvey Awards. |
BD
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SF
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2009
08/04/09
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9782756017778 |
Delcourt
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BD
-anticipation
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14,95 €
14.95
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épuisé
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Dans les ruines d’un monde post-apocalyptique, deux ombres traquent une même proie.
L’un de ces prédateurs est une femme cyborg, autrefois appelée Lisa, et répondant aux seuls ordres du Conseil. L’autre chasseur s’appelle Emil, c’est du moins ce que lui dit cette voix intérieure qui l’obsède. Nouvelle recrue au service de la Commune, il exécute tant bien que mal les directives de sa supérieure tyrannique. Lisa et Emil poursuivent la même cible, mais avec des objectifs bien différents.
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