Nouvelle édition entièrement revue, corrigée, actualisée. Nouvelle maquette Voilà un livre pour comprendre pourquoi et comment les insectes peuvent et doivent être préservés dans les jardins, même les plus modestes, afin de jouer le rôle fondamental qui est le leur dans l’écologie du jardin. Quels sont les milieux du jardin les plus favorables aux insectes ? Quelles espèces se rencontrent, où, et pourquoi ? Qu’est-ce qu’il faut faire, et souvent ne plus faire, pour que papillons ou coccinelles soient plus nombreux au jardin ? Quels aménagements peuvent être envisagés pour augmenter la richesse du jardin en insectes ? Quels sont les abris et les nichoirs faciles à fabriquer pour les loger ? Ce livre répond à toutes ces questions, et à bien d’autres…
l’auteur :
Vincent Albouy : +Né en 1959, entomologiste de formation, il est spécialiste des Dermaptères ou Perce-oreilles. Il est l’auteur avec le professeur Claude Caussanel du Muséeum National d’Histoire Naturelle de Paris du volume de la « Faune de France » consacré à cet ordre et paru en 1990.
Impliqué depuis l’adolescence dans le mouvement de protection de la nature, il a travaillé 7 ans à la Ligue de Protection des Oiseaux. Il est actuellement vice-président de l’Office Pour les Insectes et leur Environnement (OPIE) et président fondateur de PONEMA, association pour la protection de la nature ordinaire dans les jardins.
Naturaliste passionné et désireux de partager cette passion, il a publié depuis une douzaine d’années de nombreux livres sur les insectes, les oiseaux, la découverte de la nature ou le jardinage naturel, destinés aux enfants ou au grand public. Il a collaboré ou collabore avec divers éditeurs comme Gallimard Jeunesse, Casterman, Minerva, Flammarion, De Vecchi, Milan, et depuis quelques années entretient des liens étroits avec les éditions Delachaux et Niestlé dont la spécificité naturaliste correspond parfaitement à ses centres d’intérêt et à son domaine de compétence.
Vincent Albouy vit et travaille au cœur de la Saintonge, dans un petit village entre Saintes et Saint Jean d’Angely. Cette campagne relativement préservée lui permet d’alimenter quotidiennement la petite flamme de la passion de l’observation et de la protection de la nature, allumée il y a bien longtemps à la lecture de Jean Henri Fabre, et qu’il cherche à transmettre au travers de ses ouvrages.