Ça fait un bail que Jo vit dans son camion, à faire les saisons pour joindre les deux bouts et qu’elle défend, non sans hargne, la décroissance, la solidarité, l’écologie et son souhait d’être écrivaine.
Mais à l’heure du bilan, voici l’évidence : Jo se nourrit de stocks périmés au cul des hypers,s’intoxique aux pesticides aspergés sur ses lieux de travail et empoche des salaires de misère dénués de couverture sociale sans pouvoir rien y redire...
Alors, que faire pour vivre en cohérence avec ses valeurs ?