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14 | 22,5 | 525 p. |
les Arabes et la Shoah
la guerre israélo-arabe des récits
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Achcar Gilbert | essai | Israël | 2009 12/10/09 | 9782742782420 | Actes Sud |
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Sindbad | International -Moyen Orient | 26,40 € 26.40 | présent à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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Le conflit israélo-arabe ne se réduit pas aux guerres menées sur les champs de bataille du Moyen-Orient. Il comprend aussi une autre dimension, une guerre à coup de récits opposés et de négation des récits des autres, tournant autour des deux traumatismes à l’origine du conflit : la Shoah, la destruction des Juifs d’Europe, et la Nakba, le déracinement des Arabes de Palestine. S’appuyant sur une vaste documentation, Gilbert Achcar se livre à un examen approfondi des réactions arabes à l’antisémitisme et au nazisme, en soulignant leur grande diversité politique et idéologique. Avec un souci constant d’objectivité et de distance critique, il traite tant de l’époque de la montée du nazisme et de la Shoah que des périodes qui se sont succédé depuis la Nakba jusqu’à nos jours, brossant ainsi un tableau captivant de l’histoire arabe contemporaine. S’il dénonce vigoureusement les attitudes antisémites ou négationnistes qui se sont manifestées au sein du mouvement national arabe, notamment palestinien, l’auteur réfute aussi, documents à l’appui, les interprétations caricaturales d’une certaine propagande pro-israélienne qui cherche à faire croire que les Arabes ont soutenu en bloc le nazisme et qu’ils sont antisémites par vocation religieuse. Ce livre constitue une ardente plaidoirie pour une reconnaissance pleine et mutuelle de la Shoah et de la Nakba, condition indispensable, selon l’auteur, pour que s’établisse un dialogue sincère entre Arabes et Israéliens - en prélude à une paix véritable, plus urgente que jamais.
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12,5 | 19 | 327 p. |
Notre France
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Sanbar Elias, Plenel Edwy et Mardam-Bey Farouk | politique, France | 2011 05/10/11 | 9782330000578 | Actes Sud |
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Sindbad | Politique et société | 20,30 € 20.30 | sur commande ? | |||||||||||||||||||||||
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A travers cette conversation transcrite, les trois auteurs — dont deux ne sont pas français de naissance mais qui se retrouvent avec des papiers d’identité qui leur assignent un pays, la France —, se proposent de définir le rapport que chacun d’eux entretient avec ce pays, son histoire, sa géographie, sa société, sa vie politique, sa culture … Au passage sont ainsi concrètement abordés des problèmes brûlants comme l’immigration et le multiculturalisme, l’intégration et l’assimilation, la laïcité et la citoyenneté … L’idée de la longue conversation transcrite dans ce livre est née au moment où le gouvernement français a lancé le faux débat sur « l’identité nationale ». Faux débat parce qu’il partait d’une vision crispée de l’identité, qui se prévalait de l’inquiétude, voire parfois de la peur panique, de ce qui pourrait advenir de la France et des Français dans un monde en mouvement qui bouscule les vieux repères comme jamais auparavant. Les trois auteurs, dont deux ne sont pas français de naissance mais qui se retrouvent avec des papiers d’identité qui leur assignent un pays, la France, se proposent de définir le rapport que chacun d’eux entretient avec ce pays, son histoire, sa géographie, sa société, sa vie politique, sa culture … S’estimant passeurs, ils expliquent pourquoi et comment ils sont eux-mêmes passés d’un pays à un autre, d’où ils sont venus, l’idée qu’ils avaient de la France avant de s’y installer, leurs cheminements depuis leur arrivée, les événements et les rencontres qui ont fait d’eux ce qu’ils sont devenus aujourd’hui. Tout au long de cette conversation, les propos ne sont jamais purement intellectuels mais combinent expérience vécue et réflexion. Au passage sont ainsi concrètement abordés des problèmes brûlants comme l’immigration et le multiculturalisme, l’intégration et l’assimilation, la laïcité et la citoyenneté … Pour terminer sur cette question : comment trouver un imaginaire commun de l’ici et de l’ailleurs, du plus proche et du plus lointain ? |
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12,5 | 19 | 146 p. |
Israël/Palestine : la défaite du vainqueur
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Chagnollaud Jean-Paul | doc | Israël | 2017 03/05/17 | 9782330078379 | Actes Sud |
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Sindbad | International -Moyen Orient | 14,50 € 14.50 | présent à Plume(s) | ||||||||||||||||||||||
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On entend souvent dire que le conflit israélo-palestinien a perdu de son acuité et de sa centralisé au Proche-Orient en raison du caractère tragique des bouleversements dus à l’invasion américaine de l’Irak, à l’interminable guerre en Syrie et à l’irruption de Daech. La question palestinienne peut ainsi paraître stable avec "seulement" quelques accès de fièvre. Cette apparente stabilité masque en fait la profonde et constante aggravation d’un conflit qui a pris d’autres formes depuis le naufrage du processus d’Oslo en 2000. A l’occasion du 50e anniversaire de la guerre de juin 1967, Jean-Paul Chagnollaud montre que la violence est toujours là, partout et à chaque instant, mais elle est silencieuse, insidieuse, fragmentée, et donc moins visible qu’auparavant. En poursuivant la colonisation de la Cisjordanie, malgré les injonctions de la communauté internationale, les gouvernements israéliens successifs n’ont cessé de mettre en cause la solution dite des deux Etats, la seule possible et raisonnable pour l’établissement d’une paix juste. Celle-ci passe forcément, en dernière instance, par un accord entre les parties, fondé sur le droit international. Sans cette nécessaire recherche de légitimité par le droit, les victoires remportées sur le terrain demeurent précaires et préfigurent sur le long terme la défaite du vainqueur. |