masquer rechercher un article par : ? | ||
présent : dans texte : titre seul : exacte : ![]() |
||
Contacts|Qui sommes-nous|Liens|Agenda|soldes | ||
recherche avancée |
![]() |
![]() |
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
+ oups |
![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() | larg. | haut. | pages | titre – + | auteur – |
type![]() |
thème![]() | parution + | ean | éditeur | collection |
rayon![]() | prix – |
IAD![]() |
disponibilité ? ![]() |
||||||||||||||||||||||
x |
![]() |
![]() |
13 | 20,5 | 124 p. |
L’Utopie
T
![]() |
More Thomas B | essai | philosophie, politique | 2007 26/09/07 | 9782290337684 | Librio |
![]() |
Librio Philosophie | Politique et société -philosophie | 2,00 € 2.00 | épuisé | ||||||||||||||||||||||
AA
AA
" Malheur au pays où l’avarice et les affections privées siègent sur le banc des magistrats ! " Ce cri aux résonances si modernes, c’est en 1516 que le lance Thomas More, juriste au service de la couronne d’Angleterre alors portée par Henri VIII. Triste sire, triste règne... Abus, corruption, racket, injustices, iniquité des lois... La société féodale offre un tableau d’une violence révoltante aux âmes éprises d’humanité. More rêve alors d’un autre monde... Une république exemplaire où la propriété individuelle et l’argent seraient abolis, une république de citoyens vertueux, amoureux de sagesse et de paix. Ce pays merveilleux, c’est l’Utopie. Seuls les philosophes, hélas, ou les fous, sont capables d’y croire... |