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Le sursis tome 1
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Gibrat Jean-Pierre B (Paris 1954 — ) Dessinateur de bande dessinée.
On pourrait distinguer trois époques dans sa bibliographie.
Au cours de la première, de 1978 à 1996, il est exclusivement un dessinateur, talentueux déjà, au service de scénarios écrits par d’autres : Jackie Berroyer, pour les Goudard et La Parisienne, Guy Vidal pour les Missions des Médecins Sans Frontières et Daniel Pecqueur pour Marée basse. Parallèlement, ses illustrations en couleurs, séduisent les rédactions de nombreux magazines : Le Nouvel Observateur, L’Événement du jeudi, Le Figaro magazine, Elle, etc.
La deuxième débute en 1997 avec la publication du premier tome du Sursis. Suivie du tome 2 en 1999 et du Vol du corbeau, tome 1, en 2002, elle s’achève avec la parution du second volet de ce même Vol du corbeau en 2005. Le changement, fondamental, de cette période, c’est que Jean-Pierre Gibrat écrit lui-même ses histoires, se révélant un conteur et un dialoguiste hors pair. Et c’est en écrivant pour lui-même qu’il ose pousser plus loin son dessin, élégamment plus maîtrisé, et qu’il donne à ses couleurs la générosité de la séduction.
La troisième période commence avec la parution, en octobre 2008 chez Futuropolis, de Mattéo, première époque, 1914-1915. Jamais Jean-Pierre Gibrat n’avait donné à son écriture un tel éclat. Son dessin n’est pas en reste, s’affranchissant plus que jamais de la pesanteur de l’encrage, plus libre dans son expression, comme ses couleurs. Il s’émancipe du superflu pour tendre à l’essentiel : la narration, le sens et la lumière.
Grand Boum 2010 au festival Bd Boum de Blois.
Source : Futuropolis |
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39-45
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1999
16/03/99
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9782800128702 |
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Aire Libre
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-historique
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15,50 €
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remplacé >>(2012)
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Juin 1943. Julien Sarlat saute du train qui le conduit en Allemagne et gagne le petit village de Cambeyrac, dans l’Aveyron, pour s’y cacher à l’insu des villageois en attendant la fin des hostilités. Étonnante intervention du destin : le train qui devait l’emmener est bombardé et, parmi les victimes, un corps a été identifié comme étant le sien. Le voilà mort aux yeux du monde. Profitant de cette situation inattendue, il s’enferme dans le grenier de l’instituteur, arrêté par la Gestapo française et dont la maison a été mise sous scellés. Dès lors, depuis ce poste d’observation donnant sur la place du village, le mort vivant va assister à ce théâtre permanent qu’offrent les gens dans le déroulement des jours. Amours, haines, jalousies, lâchetés, mouvements du coeur, actes d’héroïsme, rien n’échappera à l’observateur. Jusqu’au moment où, de spectateur qu’il était, il sera lui-même acteur et rencontrera à nouveau son destin, cruel et moqueur, toujours inattendu, qui lui aura juste accordé un sursis.
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Le sursis tome 2
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Gibrat Jean-Pierre B (Paris 1954 — ) Dessinateur de bande dessinée.
On pourrait distinguer trois époques dans sa bibliographie.
Au cours de la première, de 1978 à 1996, il est exclusivement un dessinateur, talentueux déjà, au service de scénarios écrits par d’autres : Jackie Berroyer, pour les Goudard et La Parisienne, Guy Vidal pour les Missions des Médecins Sans Frontières et Daniel Pecqueur pour Marée basse. Parallèlement, ses illustrations en couleurs, séduisent les rédactions de nombreux magazines : Le Nouvel Observateur, L’Événement du jeudi, Le Figaro magazine, Elle, etc.
La deuxième débute en 1997 avec la publication du premier tome du Sursis. Suivie du tome 2 en 1999 et du Vol du corbeau, tome 1, en 2002, elle s’achève avec la parution du second volet de ce même Vol du corbeau en 2005. Le changement, fondamental, de cette période, c’est que Jean-Pierre Gibrat écrit lui-même ses histoires, se révélant un conteur et un dialoguiste hors pair. Et c’est en écrivant pour lui-même qu’il ose pousser plus loin son dessin, élégamment plus maîtrisé, et qu’il donne à ses couleurs la générosité de la séduction.
La troisième période commence avec la parution, en octobre 2008 chez Futuropolis, de Mattéo, première époque, 1914-1915. Jamais Jean-Pierre Gibrat n’avait donné à son écriture un tel éclat. Son dessin n’est pas en reste, s’affranchissant plus que jamais de la pesanteur de l’encrage, plus libre dans son expression, comme ses couleurs. Il s’émancipe du superflu pour tendre à l’essentiel : la narration, le sens et la lumière.
Grand Boum 2010 au festival Bd Boum de Blois.
Source : Futuropolis |
BD
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39-45
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1999
08/09/99
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9782800125985 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-historique
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16,95 €
16.95 7,30 €
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épuisé, mais encore disponible à Plume(s)
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Cambeyrac, 1944. La guerre. Passer pour mort aux yeux de tous offre avantages comme inconvénients. Julien Sarlat en sait quelque chose, lui qui, depuis la chambre de l’instituteur emmené par la milice, a assisté à son propre enterrement. Mort et voyeur malgré lui, jusqu’où cette situation insolite va-t-elle le mener ? Suite et fin, le tome II donne du "Sursis" le sens profond et inattendu de ce mot.
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Minik T1
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Marazano Richard, Hippolyte B Frank Meynet, dit Hippolyte, est né en 1976. Une enfance dans les Alpes passée entre ski et table à dessin, à recopier de vieux comics américains, conduit Hippolyte à l’École Émile Cohl de Lyon. Il y découvre avec surprise, sous la houlette de professeurs passionnés tel Yves Got, Lax ou Nicollet, que l’on peut vivre de sa passion. Il réalise en bande dessinée une adaptation du Dracula de Bram Stoker (Glénat), travail pour lequel il reçoit le prix du meilleur album de l’année à la Foire du Livre de Bruxelles en 2004. Il se lance dans la mise en images du Maître de Ballantraë, pour les éditions Denoël Graphic, chef-d’œuvre réputé inadaptable de Stevenson. Grand voyageur, il n’est jamais là où on l’attend.
Hippolyte vit et travaille à La Réunion la majeure partie de l’année.
Texte © Éditions Sarbacane |
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2008
10/09/08
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9782800141138 |
Dupuis
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Aire libre
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15,50 €
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épuisé
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Minik, c’est l’histoire de la civilisation en marche.
L’histoire d’un orphelin Inuit arraché de sa banquise et plongé au cœur de New York. L’histoire d’un drame, implacable comme du Dickens. Une histoire vraie. Biographes d’un enfant perdu, le dessinateur Hippolyte et le scénariste Marazano réinventent ici le récit de voyage initiatique. Le crayon et les aquarelles du premier donnent aux mots du second les couleurs de la comédie humaine. Cet album marque la rencontre au sommet entre un sujet universel et deux conteurs hors normes.
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139 p.
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Le Bouddha d’Azur - Edition intégrale
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Cosey |
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Tibet, aventures
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2011
14/01/11
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9782800148304 |
Dupuis
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Aire libre
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24,00 €
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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En été, dans l’Himâlaya, lorsque la neige fond aux heures les plus chaudes, l’eau qui ruisselle fredonne d’étranges mélodies.
Hymnes d’hier, chansons de demain, plaisanteries polissonnes ou légendes oubliées. Ainsi, certains jours, on peut entendre dans le murmure né au soleil de midi, l’histoire de Lhahl et Porridge. Lhahl et Porridge qui, comme les eaux dévalant des sommets, mille fois se rencontrèrent, mille fois se séparèrent... La légende dit que le Bouddha d’Azur, dont les yeux changent de couleur à chaque heure du jour et de la nuit, est caché dans les entrailles de l’Himâlaya.
La jeune Tibétaine Lhahl est la seule à connaître son emplacement, mais l’or de la mythique statue aiguise l’appétit des envahisseurs chinois. C’est en compagnie de l’Anglais Porridge que Lhahl trouvera sa voie. Le premier, Bernard Cosey a fait découvrir aux lecteurs occidentaux les mystères, les drames et les beautés du Tibet. Avec Le Bouddha d’Azur, l’auteur suisse revient sur son territoire de prédilection, là où géopolitique, spiritualité et sentiments amoureux s’inscrivent dans le diagramme d’un mandala unique en son genre.
Un chef-d’oeuvre déjà couronné de succès.
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Les longues traversées tome 1
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Giraudeau Bernard B (La Rochelle 1947 — Paris 2010) Acteur, réalisateur, producteur, scénariste et écrivain français. En 1963, à l’âge de 16 ans, il entre à l’École des apprentis mécaniciens de la flotte (Marine nationale). Il en sort premier un an plus tard.
En 1964-1965 puis 1965-1966, il participe aux deux premières campagnes du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc. Il sera ensuite embarqué sur la frégate Duquesne puis sur le porte-avions Clemenceau avant de quitter la marine pour tenter sa chance en tant que comédien. Il aura ainsi fait deux fois le tour du monde avec la Royale avant d’intégrer le Conservatoire en 1970. Il y décrochera le Premier Prix de comédie classique et moderne. Il fait ses premiers pas à l’écran avec Jean Gabin (Deuxhommes dans la ville). En 1987, il passe de l’autre côté de la caméra en devenant réalisateur, tout en continuant à tourner comme acteur. En 2000 il est atteint d’un cancer qui l’obligera à ralentir ses activités. Bernard Giraudeau comprend qu’il doit changer de vie. Il raconte aujourd’hui que le cancer lui a permis d’apprendre à se connaître. Il consacre depuis une partie de son temps à aider les malades en soutenant l’Institut Curie et l’Institut Gustave Roussy. Depuis quelques années il se consacre également à l’écriture.
Source : Wikipedia , Cailleaux Christian BNé en 1967 en banlieue parisienne, il a déjà publié plusieurs albums chez l’éditeur indépendant TREIZE ETRANGE dont Le café du voyageur et Le troisième thé. Il a publié chez casterman, ces trois derniers albums, Les imposteurs. |
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voyage, amour
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2011
19/05/11
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9782800148540 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-roman graphique
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17,95 €
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présent à Plume(s)
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Diego, le matelot à quai, et Théo, l’ancien marin apprenti écrivain, nous entraînent sur les quais du port de Lisbonne, à la poursuite de leurs rêves d’enfance, préservés dans leur mémoire ou abîmés par la vie. Aux récits de voyages de Diego se mêlent les fantasmes d’écrivain de Théo, tous deux obsédés par le fantôme de femmes réelles, imaginaires ou disparues dont ils réveillent le souvenir au gré de leur conversations.
De rêves chimériques en vraies blessures, Diego et Théo réinventent leur vie, dans l’attente d’un départ qui n’a jamais lieu. C’est le deuxième album de Bernard Giraudeau et Christian Cailleaux. Traversé par les thématiques chères à Giraudeau (la marine, le voyage, l’amour) cet album allie structure narrative solide, élan poétique et subtilité graphique.
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Portugal
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Pedrosa Cyril |
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Portugal
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2011
03/11/11
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9782800148137 |
Dupuis
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Aire libre
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-roman graphique
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35,00 €
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présent à Plume(s)
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"J’avais une furieuse envie d’acheter du tabac.
Après deux ans sans fumer une seule clope... Le pire, c’est que je m’en foutais copieusement. En fait, j’étais vraiment ravi d’avoir été invité par ce festival. Plus de vingt ans que je n’étais pas venu. Mes premiers pas d’adulte dans ce pays. J’étais fasciné et heureux. Un vrai crétin. Et je me demandais bien d’où venaient cette étrange colère puis cette douce mélancolie qui m’étaient tombées dessus sans crier gare en moins de 24 heures".
La vie est grise. Simon Muchat, auteur de bandes dessinées, est en panne d’inspiration et son existence est en perte de sens. Invité à passer quelques jours au Portugal, il retrouve par hasard ce qu’il n’était pas venu chercher : les odeurs de l’enfance, le chant des rires de vacances, la chaleur lumineuse d’une famille oubliée - peut-être abandonnée. Quel est le mystère des Muchat ? Pourquoi Simon se sent-il de nulle part ? Et pourquoi, sans rien comprendre de cette langue étrangère, vibre-t-il à ses accents ? Des réponses et d’autres questions l’attendent au cours de ce voyage régénérateur.
Ancré dans son passé gommé, Simon pourra enfin retracer sa propre trajectoire. Et la vie retrouver ses arcs-en-ciel.
Aux frontières de l’autofiction, avec humour et vivacité, Cyril Pedrosa signe - en couleurs directes et émotions immédiates - un récit essentiel sur la quête d’identité.
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Clair-obscur dans la vallée de la lune Tome 1
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Alcante B Passionné de bande dessinée depuis l’enfance, il s’oriente d’abord vers des études de sciences économiques et la recherche universitaire.
En 1995, il remporte un concours de scénario et voit son récit publié dans les pages de Spirou.
À partir de 2002, il publie régulièrement ses scénarios d’histoires courtes dans l’hebdomadaire. Ces récits mi-réalistes, mi-fantastiques préfigurent Pandora Box, qui est sa toute première série. Très inspiré par les contes et légendes du monde entier, il revendique des influences aussi variées que celles de Jean Van Hamme, Makyo, Cothias ou Alan Moore. , Montgermont Fanny B L’intérêt qu’a porté Fanny Montgermont très tôt au dessin, et particulièrement au dessin d’animation, l’a amené à passer un bac arts appliqués et à poursuivre par une formation de graphiste.
Les deux tomes de sa première série de bande dessinée, "Elle", sont parus aux Éditions Paquet en 2003 et 2005. Le premier tome a d’ailleurs bénéficié du Prix "Décoincer La Bulle" à Angoulême en 2004.
C’est en 2009 que paraît "Quelques jours ensemble", histoire complète dont elle assume le dessin, en association avec le scénariste Didier Alcante pour la collection Aire Libre de Dupuis. |
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2012
01/03/12
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9782800149165 |
Dupuis
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Aire Libre
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-roman graphique
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15,50 €
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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José Suarez, guide touristique sur les hauts-plateaux du Chili, est un homme sombre, rongé par un secret qui l’empêche de vivre et d’aimer. Sa rencontre avec Joan, une touriste américaine, va changer sa vie.
Une aventure bouleversante au cœur des somptueux paysages d’un pays au passé douloureux.
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Le Photographe
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Lefevre Kim, Guibert Emmanuel B Dessinateur et scénariste de bande dessinée, né en 1964 à Paris.
Après de courtes études à l’ENSAD, il entreprend un album ambitieux retraçant la montée du nazisme en Allemagne dans les années trente, Brune, tout en exerçant comme illustrateur et story-boarder. L’album, d’une grande virtuosité technique, paraîtra en 1992, après sept ans de travail. Son apparition dans la revue Lapin et sa participation à l’atelier des Vosges, en compagnie de Frédéric Boilet, Émile Bravo, Christophe Blain ou Joann Sfar, marquent une évolution de son style plus épuré au service de récit vécu. Style qu’il inaugure avec La Guerre d’Alan (prépublié dans Lapin) qui raconte les souvenirs d’Alan Ingram Cope, soldat américain de la Seconde Guerre mondiale installé en France, et qu’il poursuit avec Le Photographe d’après des entretiens avec Didier Lefèvre, parti en Afghanistan dans les années 80.
Parallèlement, il crée plusieurs séries à succès, notamment Sardine de l’espace et Les Olives noires avec Joann Sfar et La Fille du professeur. Il a été en 2007 lauréat de la Villa Kujoyama. De cette récompense naîtra l’album Japonais en décembre 2008. , Lemercier Frédéric BNé en 1962 à Rouen, il se passionne rapidement pour la peinture et les arts plastiques. Les cours du soir aux Beaux-Arts et une année préparatoire à Paris le conduisent rue d’Ulm, à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Dès le premier jour, il fait la connaissance de son ami Emmanuel Guibert avec lequel il partage sa passion de la musique. C’est au contact de son professeur Jean Widmer et de son agence Visuel Design qu’il commence à travailler pour les grandes institutions culturelles. Fort de cette expérience, on lui confie les fonctions de responsable du service graphique du Musée d’Orsay, de 1988 à 1991. Volontairement tourné vers un travail d’utilité publique, Frédéric Lemercier confirme son statut de graphiste indépendant les années suivantes en réalisant notamment des affiches et des catalogues pour la Réunion des musées nationaux. À partir de 2001, il se tourne vers l’enseignement artistique et enseigne aujourd’hui aux ateliers Hourdé à Paris. Il participe à la conception de "La campagne à la mer" et du "Pavé de Paris", recueils de dessins et de textes d’Emmanuel Guibert. En 2003, on retrouve la sobriété de son travail dans l’ouvrage du photographe Didier Lefèvre Voyages en Afghanistan. C’est naturellement qu’il est associé au projet de l’album "Le Photographe" aux éditions Dupuis pour lequel il compose couleurs et découpages photographiques. |
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Afghanistan
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2010
05/11/10
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9782800147956 |
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-roman graphique
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38,00 €
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Fin juillet 1986. Didier Lefèvre quitte Paris pour sa première grande mission photographique : accompagner une équipe de Médecins Sans Frontières au coeur de l’Afghanistan, en pleine guerre entre Soviétiques et Moudjahidin. Cette mission va marquer sa vie comme cette guerre marquera l’histoire contemporaine. Au croisement des destins individuels et de la géopolitique, à l’intersection du dessin et de la photographie, ce livre raconte la longue marche des hommes et des femmes qui tentent de réparer ce que d’autres détruisent.
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Les oubliés d’Annam
Edition intégrale
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Lax B (Lyon 1949 — ) Christian Lacroix, dit Lax, n’a pas eu à lutter beaucoup pour imposer à ses parents sa vocation de dessinateur. Son père l’incita dès son plus jeune âge à reproduire des images de Tintin et lui dénicha ses premiers petits boulots d’illustrateur : il avait toujours rêvé que son fils réussirait dans la bande dessinée.
Inscrit à l’école des Beaux-Arts de Saint-Etienne (où il valait mieux ne pas évoquer son attrait pour le Neuvième Art), le jeune et bientôt marié Christian ne fait que suivre un penchant familial et personnel : à douze ans, déjà, il inondait le collège de petits récits qu’il écrivait et illustrait lui-même.
C’est pendant les années Beaux-Arts que naît Alain (1971), qui deviendra son scénariste Bertois en 1995 pour l’album "Soleil cou coupé" dans la collection "Aire Libre", première collaboration d’un père et d’un fils dans ce cadre !
En 1975, Lax commence à se tailler une réputation d’indépendant dans la publicité et publie sa première BD dans le mensuel L’AUTOMOBILE avant de viser MÉTAL HURLANT, FLUIDE GLACIAL, ÈRE COMPRIMÉE et CIRCUS pour placer divers récits complets. Dans MERCREDI, puis FRIPOUNET, il publie la série animalière "Hector le castor" sur des scénarios de Michel Aubrun.
En 1982 paraît chez Glénat son premier album, "Ennui mortel", toujours sur scénario d’Aubrun. Il aborde la bande dessinée historique avec Patrick Cothias et compose de 1986 à 1989 les quatre volumes de "La Marquise des lumières" pour Vents d’Ouest. Les œuvres adultes le séduisent, mais il préférera longtemps ensuite camper à chaque fois de nouveaux personnages.
Pour lui, chaque histoire doit être un saut dans l’inconnu. Il s’essaie en 1987 à son premier volume en auteur complet : "Des maux pour le dire" où il met en scène son frère handicapé et grand voyageur.
C’est dans la prestigieuse collection "Aire Libre" qu’il va trouver à partir de 1990 l’asile rêvé pour son besoin de renouvellement constant. Les scénarios de Giroud lui offrent un dépaysement garanti, de l’Indochine des "Oubliés d’Annam" à la Roumanie de "La Fille aux ibis" en passant par l’Algérie d’"Azrayen". Lui-même compose seul une nostalgique histoire d’amours sahariennes, "Sarane".
L’envie lui est venue désormais de composer son propre personnage de série et il aborde le XXIe siècle avec un singulier détective privé français, "Le Choucas", qui promet d’être une révolution dans la collection "Repérages" chez Dupuis.
Professeur de bande dessinée à l’École d’Art Graphique Emile-Cohl de Lyon, il vit avec sa famille à la campagne, dans une ancienne ferme qu’il a retapée et qui lui sert de camp de base pour ses randonnées à bicyclette. Car, fou de vélo, Lax s’offre de temps à autre l’ascension d’un des cols mythiques du Tour de France ! , Giroud Frank B (né le 3 mai 1956 à Toulouse) Il a d’abord mené de front deux ou trois carrières : celle d’ancien élève de l’école des Chartes de Paris, agrégé d’histoire, puis professeur au lycée français de Milan et enseignant enfin l’histoire à Grenoble ; celle d’accompagnateur de voyages organisés, ce qui lui a permis de visiter d’innombrables pays, d’Israël à l’Inde, de la Tunisie à la Thaïlande ; et celle, à laquelle il se destinait depuis toujours, de scénariste de bande dessinée.
Si le succès de la série qu’il a créée avec Jean-Paul Dethorey, "Louis La Guigne", lui a rapidement permis de vivre de ce métier et de laisser tomber tout le reste, il n’a cependant jamais vu de contradictions entre ses diverses activités. Son mémoire de maîtrise, illustré de vignettes, s’intitulait d’ailleurs : "Le Chevalier dans les albums de bande dessinée réaliste franco-belge". Le chartiste et l’historien réunissent la documentation du scénariste, le voyageur découvre le monde que l’auteur raconte à la manière d’un grand reporter.
Depuis ses débuts chez Larousse, en 1978, pour les collections "L’Histoire du Farwest" et "La Découverte du monde", il jongle avec les époques et les frontières : le XVIIe siècle de "Missouri" (trois albums avec Carpentrie pour "Repérages Dupuis") et de "Pieter Hoorn" (avec Norma chez Glénat), le XVIIIe siècle des "Patriotes" (avec Lacaf pour Glénat) et le XXe siècle dans la prestigieuse collection "Aire Libre", avec trois grandes évocations dramatiques illustrées par Lax, œuvres fortes où il raconte l’Indochine des "Oubliés d’Annam", la Roumanie de "La Fille aux ibis" et l’Algérie d’"Azrayen".
Dans tous ses récits, il privilégie l’Histoire pour exposer, sans manichéisme, la vision philosophique d’un homme engagé cherchant à retrouver le véritable passé des hommes au-delà des mythes et des propagandes. Giroud est également comédien, conteur de cabaret, et a écrit des pièces de théâtre musical.
Découvrez l’interview exclusive de Giroud réalisée par l’équipe de France Télévisions à propos de la collection "Secrets". |
BD
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Indochine
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2000
03/10/00
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9782800128177 |
Dupuis
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Aire libre
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BD
-roman graphique
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24,00 €
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sur commande ? sous réserve de la disponibilité de l'article chez l'éditeur / le distributeur
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Enquête sur un soldat perdu
Septembre 1945. Le "Béarn" quitte le port de Marseille, direction Saïgon. À son bord, un contingent français officiellement chargé de libérer l’Indochine des derniers bataillons japonais. Octobre 1986. Sous l’œil des caméras de la télévision française, un 747 vomit sur le tarmac de l’aéroport de Roissy les cercueils des dernières dépouilles encore retenues par le gouvernement vietnamien. Macabre retour à la mère patrie. Des fils "retrouvent" leur père, des neveux leur oncle... Madame Joubert, elle, reste seule. Elle est sans nouvelles d’Henri, son fils, "porté disparu" depuis fin 1946. Nicolas Valone, journaliste en mal de reconnaissance, flaire là matière à un poignant documentaire. Mais lorsque les témoins susceptibles d’enrichir son reportage meurent les uns après les autres dans d’étranges circonstances, il comprend qu’il a mis le doigt dans un engrenage sanglant...
"Bien sûr, Les Oubliés d’Annam, c’est avant tout un thriller où priment l’intrigue et le suspense. Bien sûr, d’autres problèmes y sont abordés, de la liberté d’expression aux rapports père/fille, en passant par les manipulations historiques. Mais plus que cela, c’est probablement le destin de ces soldats perdus qui marquera le lecteur. Parce que la France est encore mal guérie de ses blessures coloniales", écrivaient les auteurs dans la préface du tome 1, publié en 1990.
Mais qui sont ces "soldats perdus" ? Jeunes pour la plupart, issus de la Résistance ou non, ils ont, par idéal, rallié la cause viêt-minh. On les a appelés "les soldats blancs de Hô Chi Minh", et l’armée française les a considérés comme des traîtres.
Traîtres ou héros ? Dix ans après, avec cette édition intégrale augmentée d’un dossier inédit, largement illustré de documents photographiques et graphiques, la question que pose ce récit remarquable est toujours aussi pertinente.
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L’aigle sans orteils
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Lax B (Lyon 1949 — ) Christian Lacroix, dit Lax, n’a pas eu à lutter beaucoup pour imposer à ses parents sa vocation de dessinateur. Son père l’incita dès son plus jeune âge à reproduire des images de Tintin et lui dénicha ses premiers petits boulots d’illustrateur : il avait toujours rêvé que son fils réussirait dans la bande dessinée.
Inscrit à l’école des Beaux-Arts de Saint-Etienne (où il valait mieux ne pas évoquer son attrait pour le Neuvième Art), le jeune et bientôt marié Christian ne fait que suivre un penchant familial et personnel : à douze ans, déjà, il inondait le collège de petits récits qu’il écrivait et illustrait lui-même.
C’est pendant les années Beaux-Arts que naît Alain (1971), qui deviendra son scénariste Bertois en 1995 pour l’album "Soleil cou coupé" dans la collection "Aire Libre", première collaboration d’un père et d’un fils dans ce cadre !
En 1975, Lax commence à se tailler une réputation d’indépendant dans la publicité et publie sa première BD dans le mensuel L’AUTOMOBILE avant de viser MÉTAL HURLANT, FLUIDE GLACIAL, ÈRE COMPRIMÉE et CIRCUS pour placer divers récits complets. Dans MERCREDI, puis FRIPOUNET, il publie la série animalière "Hector le castor" sur des scénarios de Michel Aubrun.
En 1982 paraît chez Glénat son premier album, "Ennui mortel", toujours sur scénario d’Aubrun. Il aborde la bande dessinée historique avec Patrick Cothias et compose de 1986 à 1989 les quatre volumes de "La Marquise des lumières" pour Vents d’Ouest. Les œuvres adultes le séduisent, mais il préférera longtemps ensuite camper à chaque fois de nouveaux personnages.
Pour lui, chaque histoire doit être un saut dans l’inconnu. Il s’essaie en 1987 à son premier volume en auteur complet : "Des maux pour le dire" où il met en scène son frère handicapé et grand voyageur.
C’est dans la prestigieuse collection "Aire Libre" qu’il va trouver à partir de 1990 l’asile rêvé pour son besoin de renouvellement constant. Les scénarios de Giroud lui offrent un dépaysement garanti, de l’Indochine des "Oubliés d’Annam" à la Roumanie de "La Fille aux ibis" en passant par l’Algérie d’"Azrayen". Lui-même compose seul une nostalgique histoire d’amours sahariennes, "Sarane".
L’envie lui est venue désormais de composer son propre personnage de série et il aborde le XXIe siècle avec un singulier détective privé français, "Le Choucas", qui promet d’être une révolution dans la collection "Repérages" chez Dupuis.
Professeur de bande dessinée à l’École d’Art Graphique Emile-Cohl de Lyon, il vit avec sa famille à la campagne, dans une ancienne ferme qu’il a retapée et qui lui sert de camp de base pour ses randonnées à bicyclette. Car, fou de vélo, Lax s’offre de temps à autre l’ascension d’un des cols mythiques du Tour de France ! |
BD
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2012
01/10/12
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9782800155913 |
Dupuis
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aire libre
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BD
-roman graphique
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17,95 €
17.95
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Juillet 1907, Amédée est un de ces soldats qui charrient à dos d’homme le matériel nécessaire à la construction de l’observatoire du Pic du Midi. Il va rencontrer Camille, un de ces messieurs de l’observatoire, passionné par le Tour de France, la plus grande épreuve cycliste du monde, comme annoncé à sa création en 1903. Amédée n’est pas long à attraper le virus. Revenu dans son village, au pied du Pic, Amédée enchaîne les portages pour économiser l’argent nécessaire à l’achat de son premier Alcyon. Il prend tous les risques jusqu’au jour où la montagne est la plus forte. Amédée passe une nuit entière dans les monts gelés. Il en sort vivant mais amputé des orteils. Ce n’est que le début de son incroyable odyssée : comment un coureur handicapé, inconnu, (un isolé qui ne peut recevoir de l’aide de personne sous peine de lourdes pénalités) va se hisser de Tour en Tour aux côtés des plus grands, les Georget, Petit-Breton ou Garriguou, sur des routes encore mal dégrossies, par-delà des cols encore sauvages. Le jour où son surnom devient L’Aigle sans orteils, Amédée entre dans l’aristocratie du Tour...
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Le sursis Tome 1
édition 2012
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Gibrat Jean-Pierre B (Paris 1954 — ) Dessinateur de bande dessinée.
On pourrait distinguer trois époques dans sa bibliographie.
Au cours de la première, de 1978 à 1996, il est exclusivement un dessinateur, talentueux déjà, au service de scénarios écrits par d’autres : Jackie Berroyer, pour les Goudard et La Parisienne, Guy Vidal pour les Missions des Médecins Sans Frontières et Daniel Pecqueur pour Marée basse. Parallèlement, ses illustrations en couleurs, séduisent les rédactions de nombreux magazines : Le Nouvel Observateur, L’Événement du jeudi, Le Figaro magazine, Elle, etc.
La deuxième débute en 1997 avec la publication du premier tome du Sursis. Suivie du tome 2 en 1999 et du Vol du corbeau, tome 1, en 2002, elle s’achève avec la parution du second volet de ce même Vol du corbeau en 2005. Le changement, fondamental, de cette période, c’est que Jean-Pierre Gibrat écrit lui-même ses histoires, se révélant un conteur et un dialoguiste hors pair. Et c’est en écrivant pour lui-même qu’il ose pousser plus loin son dessin, élégamment plus maîtrisé, et qu’il donne à ses couleurs la générosité de la séduction.
La troisième période commence avec la parution, en octobre 2008 chez Futuropolis, de Mattéo, première époque, 1914-1915. Jamais Jean-Pierre Gibrat n’avait donné à son écriture un tel éclat. Son dessin n’est pas en reste, s’affranchissant plus que jamais de la pesanteur de l’encrage, plus libre dans son expression, comme ses couleurs. Il s’émancipe du superflu pour tendre à l’essentiel : la narration, le sens et la lumière.
Grand Boum 2010 au festival Bd Boum de Blois.
Source : Futuropolis |
BD
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39-45
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2012
01/09/12
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9782800156408 |
Dupuis
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aire libre
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BD
-historique
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15,95 €
15.95
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manquant sans date
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Mort. Tranquille. Derrière les volets de son pigeonnier, Julien assiste à son propre enterrement d’un œil goguenard. Obligé de se cacher, il écoute les conversations et contemple Cécile. Cécile à qui il ne peut parler. En ce mois de juin 1943, à Cambeyrac, petit village aveyronnais, le calme n’est qu’apparence. Les colonnes de blindés allemands ne vont pas tarder à apparaître...
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80 p.
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Chute de vélo
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Davodeau Etienne B Il est né en Anjou le 19 octobre 1965. Il entreprend des études d’arts plastiques en 1985 à Rennes, et fonde avec quelques amis, dont Joub, Jean-Luc et Fred Simon, le studio BD Psurde. Cette petite structure éditoriale leur permet de publier leurs premiers travaux, dont un album collectif, La Vie Tourmentée d’Ernest Formidable. Après avoir décroché sa licence d’arts plastiques, Étienne écrit un scénario qui deviendra en 1992 le premier tome de la trilogie Les Amis de Saltiel, publiée chez Dargaud. Deux ans sont nécessaires à l’élaboration de son livre suivant, un récit de 100 pages intitulé Le Constat, où éclate au grand jour son sens de la narration. Viennent ensuite Quelques Jours avec un Menteur, chronique sélectionnée pour l’Alph-Art du meilleur scénario au festival d’Angoulême en 98, puis Le Réflexe de Survie, pressenti pour l’Alph-Art du meilleur album l’année suivante. La Gloire d’Albert et Anticyclone sont les deux premiers polars d’une trilogie qui s’achève aujourd’hui avec la publication de Ceux qui t’aiment, chronique sarcastique sur les rapports entre supporters et footballeurs milliardaires. En 2001 Étienne Davodeau avait interrompu la réalisation de ce triptyque pour réaliser Rural ! . Grâce à ce véritable reportage en bande dessinée, il confirmait son choix - peu fréquent en bande dessinée - d’inscrire le monde réel au coeur de son travail. Cette singularité ne l’enferme pas pour autant. Il s’intéresse à l’expérimentation narrative avec L’Atelier, (exercice d’improvisation totale) et à la bande dessinée pour enfants (il scénarise les aventures de Max & Zoé, dessin de Joub). À la suite de la publication de Rural !, il est promu directeur de collection au sein des Éditions Delcourt, où son travail consiste à inciter d’autres auteurs à franchir le cap du « récit du réel ». Il travaille aussi, avec David Prudhomme au dessin, à l’adaptation en bande dessinée de l’unique et méconnu roman de Georges Brassens, La Tour des miracles. |
BD
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2013
30/08/13
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9782800157344 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-roman graphique
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16,50 €
16.50
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Un récit sensible sur la culpabilité.
Jeanne et son frère Simon se retrouvent dans la maison de leur mère pour en préparer la mise en vente. Avec le mari de Jeanne et leurs enfants, ils passent un dernier été dans la demeure familiale, en compagnie de Toussaint, un vieil ami qui les a rejoints. Un évènement survenu sur un chantier, en face de la maison, va réveiller certains souvenirs ...
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172 p.
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S.O.S. Bonheur
Edition intégrale
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van Hamme Jean B (1939 — ) Ingénieur commercial, licencié en sciences financières, en journalisme et en droit administratif, agrégé d’économie politique.
Après une brillante carrière internationale, il abandonne en 1976 son poste de fondé de pouvoir général auprès de Philips-Belgique pour vivre de sa plume.
Tout en composant six romans des aventures de Largo Winch pour le Mercure de France, il se lance dans le scénario de BD au journal de TINTIN : des gags pour Attanasio (Modeste et Pompon), une aventure mythologique (Epoxy) et des épisodes de Corentin pour Paul Cuvelier, Michael Logan pour André Beautemps, Domino pour Cheret, l’Histoire sans héros et Arlequin pour Dany, Mr Magellan pour Géri.
Il y démarre la saga de Thorgal pour Grzegorz Roszinski, avec qui il réalisera Le Grand Pouvoir du Chninkel chez Casterman.
Viennent ensuite les séries XIII pour Vance chez Dargaud et Les Maîtres de l’orge pour Vallès aux Éditions Glénat, etc.
On lui doit également des scénarios pour la télévision (l’adaptation des Maîtres de l’Orge), ainsi que pour le cinéma (Diva de Jean-Jacques Beneix et Meurtres à domicile de Marc Lobet).
En 1987, il occupe durant un an le poste de responsable des Éditions Dupuis, où il lance la série best-seller Largo Winch avec Philippe Francq et conçoit ce qui deviendra la collection Aire Libre. Il y apporte les récits de S.O.S. Bonheur, dessinés par Griffo, et Lune de guerre avec Hermann.
Ayant démonté toutes les techniques de la narration populaire, Van Hamme est désormais un scénariste qui transforme en or tout ce qu’il écrit. Il n’est donc guère étonnant qu’une de ses plus récentes missions, parfaitement réussies, ait été la réanimation des personnages de Blake et Mortimer avec le dessinateur Ted Benoît. Nul mieux que lui ne pouvait s’inscrire dans la tradition classique d’Edgar P. Jacobs.
Chargé de cours à l’institut d’Arts de Diffusion (Louvain-la-Neuve), il est également président du Centre Belge de le Bande Dessinée depuis 1992.
Philippe Francq et Jean Van Hamme se sont vus décerner le Sanglier 2007 du meilleur album adulte (un des Prix Uderzo) pour Les trois yeux des gardiens du Tao, le 15e album de leur série Largo Winch. , Griffo B (1949 — ) Werner Goelen alias Griffo a fait ses classes à l’Académie des Beaux-Arts d’Anvers où il a été admis à l’âge de 15 ans. En 1971, sitôt ses études achevées, il entre dans la communauté artistique Ercola, et commence par produire pour la presse « underground ». Parallèlement, il réalise des illustrations pour des revues féminines et des caricatures de rock stars pour « Humo », hebdo télé néerlandophone.
Mais c’est au Lombard que son parcours dans la BD débute réellement... Lorsqu’il se présente au Lombard, Griffo tombe à pic : Mittéï qui, après Attanasio, a repris les gags de Modeste et Pompon lancés en 1955 par Franquin, s’en va chez « Spirou », on cherche un jeune dessinateur susceptible de lui succéder. En 1975, outre une planche par semaine de Modeste et Pompon, il assure l’animation de mini-récits humoristiques pour le trimestriel « Tintin-Sélection ».
En 1984, Griffo propose ses services à la rédaction de Spirou. Philippe Vandooren qui en est alors le rédac’chef, lui commande la mise en images d’un scénario écrit par un certain J. Van Hamme et initialement conçu pour la télévision. Son titre : « SOS Bonheur ». Deux ans plus tard, il dessine Les enquêtes de Munro imaginées par J.-F. Di Giorgio (3 albums).
C’est alors qu’il fait une rencontre déterminante, celle de Jean Dufaux. Ensemble, ils entreprennent la série « Beatifica Blues » pour Dargaud. Glénat la rééditera en 1992 et la poursuivra sous le titre de « Samba Bugatti ». Pour cet éditeur, ils ont entre-temps inventé les exploits galants d’un gentilhomme vénitien du 18e siècle dénommé « Giacomo C ».
En 1994, pour la collection « Aire Libre » de Dupuis cette fois, le duo signe « Monsieur Noir ».
En 1996, au Festival d’Angoulême, Griffo fait la connaissance de P. Cothias avec qui il réalise l’épopée de « Cinjis Qan » et « La Pension du Docteur Eon », pour la collection Signé du Lombard.
Griffo est aussi le dessinateur de Vlad pour la collection Troisième Vague du Lombard, scénarisée par Yves Swolfs.
Griffo est également de la partie pour le lancement de la nouvelle collection d’heroic-fantasy du Lombard, Portail avec la série Ellis (octobre 2006) scénarisée par Sébastien Latour. |
BD
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2001
02/05/01
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9782800126395 |
Dupuis
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Aire libre
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BD
-anticipation
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28,00 €
28.00
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remplacé >>(2016)
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Tout fonctionne à merveille. L’Etat providence veille sur le bonheur de chacun de nous. Bonheur officiel. Bonheur programmé. Comme toujours, Louis aurait pu feindre d’ignorer la réalité des déregs, ces rebelles systématiquement déregistrés du Grand Fichier Central et condamnés à la mort civile.
Comme toujours, il aurait pu fermer les yeux sur l’existence des illegs, ces gosses nés illégalement depuis la loi sur la limitation des naissances.
Seulement voilà, après trente-cinq ans de trop loyaux services dans la police, il prend à Louis l’envie de redresser la tête et de voir enfin la réalité en face. Et quand Johnny, un illeg, glisse sa petite menotte dans sa grosse paluche, il se laisse guider, sans hâte, à travers le miroir de ses illusions. De nos illusions.
S.O.S. Bonheur, un rêve éveillé qui se transforme en cauchemar.
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72 p.
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Le tour de valse
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Lapière Denis B Né en 1958 en Belgique, il se lance dans la bande dessinée au milieu des années 80. Il travaille pour Spirou et L’écho des Savanes avec Jean-Philippe Stassen. On lui doit la série Charlie avec la dessinatrice Magda, mais c’est Le bar du vieux français qui lui apporte la reconnaissance professionnelle. Il a depuis signé de nombreuses œuvres importantes comme Un peu de fumée bleue et Le tour de valse avec Ruben Pellejero. Il est également directeur de collection aux éditions Dupuis (collections Punaise et Puceron). , Pellejero Ruben BNé à Badalona, en Espagne, le 20 décembre 1952, il aborde dès 1970 une brillante carrière d’illustrateur avant de se tourner, en 1983, vers la bande dessinée pour le magazine CIMOC.
Après avoir réalisé seul Historias de Barcelona, il s’associe avec le scénariste argentin Jorge Zentner pour illustrer Las Memorias de Monsieur Griffaton (1983), FM (1984) et deux aventures de Dieter Lumpen, dont l’une (Le Poignard d’Istamboul) sera reprise par le petit éditeur belge Magic-Strip en 1986, suivie par F.M. en fréquence modulée et Les Mémoires de Monsieur Griffaton.
Cette première initiative lui ouvre le marché français et on va le retrouver au catalogue de Casterman à la suite de prépublications dans A SUIVRE ou CORTO. Parallèlement, il est requis par JE BOUQUINE pour illustrer une nouvelle policière de Michel Grisolia (Menace dans la nuit, 1988) et l’hebdomadaire FRIPOUNET publie l’adaptation illustrée de La Flûte enchantée qu’il imagine avec Zentner. Un troisième épisode de Dieter Lumpen (Le prix du charron) est accueilli dans A SUIVRE en 1993, suivi par Le Silence de Malka (1996), qui se trouvera honoré par le festival d’Angoulême comme meilleur album étranger.
En 1999, Casterman propose l’anthologie Blues et autres récits en couleurs, ainsi que Tabou, toujours sur scénario de Zentner.
Pour la collection Aire Libre, il illustre un émouvant scénario réaliste de Lapière (Un peu de fumée bleue, 2000), qui marque une nouvelle étape dans une œuvre à la fois forte et intimiste, d’une remarquable élégance graphique. |
BD
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déportation
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2013
01/03/13
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9782800157122 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-historique
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17,95 €
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présent à Plume(s)
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A travers le destin brisé d’une famille ordinaire dans l’URSS d’après-guerre, dressant en même temps le portrait sensible et juste d’une femme prête à tout pour retrouver son mari "disparu", Denis Lapière donne à lire une magnifique et poignante histoire d’amour, sublimée par le dessin magistral de Ruben Pellejero. Une réussite exceptionnelle.
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122 p.
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L’assassin qui parle aux oiseaux
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Servais Jean-Claude B (1956 — ) Scénariste et dessinateur de bande dessinée belge, également connu sous le pseudonyme Jicé. |
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oiseau
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2013
08/11/13
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9782800157825 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-roman graphique
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24,00 €
24.00
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Accusé de meurtre, Blaise Van Hoppen, dit le Roitelet, se retrouve enfin libre après douze ans de réclusion. Pour la population du village, c’est l’assassin qui revient sur les lieux de son crime. Les visages se ferment, et les portes se claquent sur son passage. Sans haine ni rancoeur, le Roitelet tente de reconstruire sa vie, à l’aide de ses plus proches alliés, les oiseaux. Ce sont eux qui lui donnent sa force.
Le récit d’une rupture, d’un refus des convenances hypocrites. Un récit de convictions, et une magnifique leçon de vie.
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La terre sans mal
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Lepage Emmanuel B Scénariste, dessinateur et coloriste né à Saint-Brieuc. Il commence sa première série en 1986 : Les aventures de Kelvinn. Après la création du fanzine Volapük avec d’autres jeunes dessinateurs, il collabore aux journaux Circus et Tintin reporter avant de s’associer tout d’abord avec le scénariste Dieter pour composer Névé , série très remarquée éditée chez Glénat, puis avec Anne Sibran pour La Terre sans mal édité chez Dupuis. Après un tour du monde de deux ans, Emmanuel Lepage publie deux carnets de voyages chez Casterman : Brésil et America, où ses dessins tout en finesse côtoient les textes de l’écrivain Nicolas Michel. En 2003, il entame la création de son plus grand succés, Muchacho, édité chez Dupuis dans la collection Aire Libre.
« Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu faire de la bande dessinée. Lorsque j’avais sept ans, mes parents m’avaient offert le livre Archives Hergé où était republié pour la première fois Tintin au pays des Soviets. Il y avait dans ce gros bouquin une petite biographie d’Hergé avec une photo dans son atelier. J’ai pris conscience là qu’il y avait quelqu’un derrière les livres… J’ai réalisé que raconter des histoires pouvait être un métier. »
« Les dessins de Pierre Joubert me troublaient et me fascinaient. J’étais admiratif devant tant de maîtrise et de puissance graphique : j’ai passé des heures, des jours à décortiquer ses dessins. Joubert est ma plus grande influence graphique ! Ça se voit, non ? »
« Si j’avais choisi la sécurité, je n’aurais pas fait ce métier ! J’ai toujours eu conscience que c’est un métier incertain, ce qui d’ailleurs en donne sa beauté. Je sais que demain, dans cinq, dans dix ans, ce que je fais risque peut-être de ne plus rencontrer qu’un public de happy few. Mais l’illusion serait de penser ce métier en termes comptables. Tout change tellement vite qu’il faut surtout rester fidèle à soi-même. »
« C’est peut-être prétentieux de le dire, mais la couleur m’est facile. Je sens la couleur comme quelque chose de très ludique, comme une sorte de jubilation. Ce n’est pas avec la tête que je fais les couleurs, mais avec le ventre. Alors que je mets tellement d’énergie, de combat, dans le dessin ! Le dessin, surtout réaliste, m’apparaît comme quelque chose d’inaccessible… »
« Pour moi, le dessin « réaliste », c’est à la fois une éthique, une discipline, une présence de tous les instants, un regard qui s’aiguise. Le dessin « réaliste », c’est peut-être aussi une certaine forme d’abnégation, ça ne se voit pas forcément. Dans le dessin « réaliste », on peut avoir la tentation de jouer la surexpressivité, d’être dans la surenchère, de montrer ce qu’on sait faire. Or, pour être juste, il faut toujours s’arrêter à temps. La facilité dans le dessin, c’est l’effet, la virtuosité. Au fond, est dessinateur « réaliste » celui qui réussit à saisir la vie. Je tends vers cela. »
Les trois premières citations sont extraites de Lepage, une monographie, Éditions Mosquito. , Sibran Anne B (1963 — ) Après des études d’ethnologie à Nanterre, elle se tourne vers l’écriture de romans et de bandes dessinées. Ecrivain de l’ailleurs, elle fait entendre dans chacun de ses livres une voix singulière : lisières de la folie dans Ma vie en l’air ; expérience de la sauvagerie dans Je suis la bête. Elle travaille également pour le théâtre et la radio (France Culture). Depuis quelques années, elle a appris une langue indienne, le quechua, et vit entre la France (Ardèche) et l’Équateur. Elle a déjà publié Bleu-Figuier, Ma vie en l’air (chez Grasset), Je suis la bête, Les bêtes d’ombre (chez Gallimard), Le Monde Intervalle (chez Panama). |
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Amérindiens
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2009
02/01/09
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9782800142647 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-roman graphique
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16,95 €
16.95
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manquant sans date
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La Terre sans Mal existe-t-elle ?
Février 1939. Éliane Goldschmidt, jeune linguiste française, débarque au Paraguay pour achever son étude de la langue guarani. Chez les Indiens Mbyas, elle découvre un peuple apathique, résigné, comme s’il avait décidé de se laisser mourir. Mais un matin, le village est en effervescence, les femmes se lacèrent le corps, les maracas s’allument. Ces comportements étranges ont-ils un lien direct avec la venue prochaine de Karaï, l’Homme-Dieu ? Et la Terre sans Mal, ce mythique paradis de la légende indienne, existe-t-elle vraiment ?
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La fille du professeur - Tome 1
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Sfar Joann BIl naît à Nice en 1971, d’une mère chanteuse et d’un père avocat.
Il grandit dans la culture juive, ashkénaze et séfarade à la fois, apprend l’hébreu et les préceptes de la Torah, mais fréquente l’école publique. Très tôt, et avec l’abondance qui le caractérise encore aujourd’hui, il invente et dessine des histoires, lui dont le patronyme vient de sofer, « scribe » en hébreu. Dès l’âge de quinze ans, il envoie à des éditeurs un projet de bande dessinée par mois, que tous lui refusent avec la même régularité. Plus tard, il rencontre Fred, Baudoin et Pierre Dubois, qui resteront pour lui de véritables pères spirituels.
Après une maîtrise de philosophie à l’université de Nice, il entre aux Beaux-Arts de Paris et se passionne pour les cours de morphologie. En 1993, il passe la porte de l’atelier Nawak, futur atelier des Vosges, où il fera la connaissance de Lewis Trondheim, David B., Jean-Christophe Menu, Emmanuel Guibert, Christophe Blain, Émile Bravo, Marjane Satrapi.
Un beau mois de 1994, trois maisons différentes lui proposent d’éditer son travail. Son premier album, "Noyé le poisson", est publié cette année-là par L’Association. Depuis, avec un foisonnement qui n’a que l’apparence du désordre, Joann Sfar compose une œuvre d’une originalité absolue. La profondeur de ses histoires n’exclut jamais la drôlerie ou la sensualité. Ses personnages ont la truculence de ceux d’Albert Cohen. Et le plaisir de dessiner est chez lui aussi communicatif que chez Quentin Blake. Il est de ceux grâce auxquels la bande dessinée s’est éveillée à une vie nouvelle. , Guibert Emmanuel B Dessinateur et scénariste de bande dessinée, né en 1964 à Paris.
Après de courtes études à l’ENSAD, il entreprend un album ambitieux retraçant la montée du nazisme en Allemagne dans les années trente, Brune, tout en exerçant comme illustrateur et story-boarder. L’album, d’une grande virtuosité technique, paraîtra en 1992, après sept ans de travail. Son apparition dans la revue Lapin et sa participation à l’atelier des Vosges, en compagnie de Frédéric Boilet, Émile Bravo, Christophe Blain ou Joann Sfar, marquent une évolution de son style plus épuré au service de récit vécu. Style qu’il inaugure avec La Guerre d’Alan (prépublié dans Lapin) qui raconte les souvenirs d’Alan Ingram Cope, soldat américain de la Seconde Guerre mondiale installé en France, et qu’il poursuit avec Le Photographe d’après des entretiens avec Didier Lefèvre, parti en Afghanistan dans les années 80.
Parallèlement, il crée plusieurs séries à succès, notamment Sardine de l’espace et Les Olives noires avec Joann Sfar et La Fille du professeur. Il a été en 2007 lauréat de la Villa Kujoyama. De cette récompense naîtra l’album Japonais en décembre 2008. |
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fantastique, ésotérisme
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2016
02/09/16
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9782800149493 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-fantastique
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16,50 €
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Liliane, fille de l’archéologue Bowell, a besoin de liberté. Elle embarque donc pour une virée dans les rues du Londres de ce début du XXe siècle avec Imhotep IV, la momie du pharaon égyptien conservée par son père et revenue à la vie. Après une altercation fatale avec un policier, le couple se retrouve en fuite, en procès, en prison, et va devoir affronter le père d’Imhotep, lui aussi momie, avant de pouvoir vivre librement son amour.
Fantaisie romantique et victorienne, La fille du professeur est la première collaboration entre deux des plus grands auteurs actuels de bande dessinée : Joann Sfar (Le chat du rabbin) et Emmanuel Guibert (Le photographe). Aujourd’hui rééditée au sein du label "Aire Libre", cette oeuvre de 1997 avait été récompensée à l’époque par le prix René Goscinny et l’Alph-Art coup de coeur au Festival d’Angoulême.
Elle n’a rien perdu de sa modernité, grâce à son humour tendre, son style graphique gracieux, tout en couleurs directes, ou encore son ton, délicieusement absurde.
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48 p.
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Saigon-Hanoï
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Cosey |
BD, roman graphique
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2011
22/09/11
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9782800155050 |
Dupuis
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Aire libre
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BD
-roman graphique
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16,95 €
16.95
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actuellement indisponible
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Dans la maison de ses vacances enfantines, enfouie sous la neige, au cœur de ses souvenirs, il regarde à la télévision le reportage auquel il a participé : son retour, vingt ans après, sur les lieux de la guerre, sa fraternisation avec l’ennemi d’hier, sa tentative d’exorcisme qu’il renouvelle en cette veille du premier de l’an.
Felicity a treize ans, peut-être onze. Un soir de réveillon, pour tromper son ennui, et sa solitude momentanée, elle téléphone au hasard. Le hasard, c’est Homer. La gamine effrontée, dont la réflexion est d’une richesse étonnante, force peu à peu la solitude d’Homer.
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120 p.
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Jamais je n’aurai 20 ans
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Martin Jaime B (Barcelone 1966 — ) est un illustrateur et auteur de bande dessinée espagnol d’origine catalane. La plupart de ses albums ont une composante autobiographique et une portée sociale marquées.
La vie professionnelle de Jaime Martin est dédiée à la BD et à l’illustration. Il a commencé à publier ses premiers travaux dans des magazines d’humour pour la jeunesse ("Bichos", "Pulgarcito") mais aussi pour adultes ("Canibal", "Humor a Tope").
En 1987, il a commencé à collaborer régulièrement à la revue El Vibora en réalisant des histoires plus personnelles avec un certain contenu de critique sociale.
Ses histoires ont été publiées en France, Belgique, Italie, Allemagne, Suède, Danemark, Brésil et USA.
En 1990, Jaime Martin a reçu le prix Révélation Auteur du 8e Salon international de BD de Barcelone, pour "Sangre de Barrio".
En 1995, il a reçu le prix Historieta Diario de Avisos (Tenerife) du meilleur scénario d’histoire réaliste pour "La Memoria Oscura".
En 2008, le prix Mor Vran 2008 du Salon du roman policier et de la bande dessinée de Penmarch lui a été remis pour "Ce que le vent apporte" (Dupuis).
Il a également réalisé divers travaux dans le champ du design (graphique, éditorial et corporatif), des story-boards, des illustrations pour l’interactif, la presse et la télévision ainsi que la scénarisation, dessin de personnages et direction artistique de jeux vidéos. |
BD, roman graphique
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révolution espagnole
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2016
07/10/16
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9782800169316 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-historique
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24,00 €
24.00
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18 juillet 1936 : le jeune gouvernement espagnol des républicains, issu de l’alliance des partis de gauche, est renversé par les troupes du général Franco, plongeant le pays dans trois années de guerre civile puis presque quarante de dictature répressive.
Pour Isabel, courageuse couturière, ce sera également le début d’une vie nouvelle, faite de lutte et de résistance. Proche du syndicat anarchiste CNT qu’elle a rejoint quelques mois auparavant, elle va devoir prendre la fuite au côté de son futur mari, Jaime, l’un des leaders de leur cellule locale.
Après "Les guerres silencieuses", au sein desquelles Jaime Martin se penchait sur la jeunesse de son père au coeur de la décolonisation espagnole, c’est maintenant à la jeunesse de ses grands-parents qu’il dédie ce dense roman graphique. Conté depuis les yeux d’Isabel et Jaime, "Jamais Je n’aurai vingt ans" est une plongée dans la guerre d’Espagne avec la sensibilité et l’efficacité graphique inhérentes au travail du talentueux auteur ibérique.
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23,5
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128 p.
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S.O.S. Bonheur Saison 2 tome 1
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Griffo B (1949 — ) Werner Goelen alias Griffo a fait ses classes à l’Académie des Beaux-Arts d’Anvers où il a été admis à l’âge de 15 ans. En 1971, sitôt ses études achevées, il entre dans la communauté artistique Ercola, et commence par produire pour la presse « underground ». Parallèlement, il réalise des illustrations pour des revues féminines et des caricatures de rock stars pour « Humo », hebdo télé néerlandophone.
Mais c’est au Lombard que son parcours dans la BD débute réellement... Lorsqu’il se présente au Lombard, Griffo tombe à pic : Mittéï qui, après Attanasio, a repris les gags de Modeste et Pompon lancés en 1955 par Franquin, s’en va chez « Spirou », on cherche un jeune dessinateur susceptible de lui succéder. En 1975, outre une planche par semaine de Modeste et Pompon, il assure l’animation de mini-récits humoristiques pour le trimestriel « Tintin-Sélection ».
En 1984, Griffo propose ses services à la rédaction de Spirou. Philippe Vandooren qui en est alors le rédac’chef, lui commande la mise en images d’un scénario écrit par un certain J. Van Hamme et initialement conçu pour la télévision. Son titre : « SOS Bonheur ». Deux ans plus tard, il dessine Les enquêtes de Munro imaginées par J.-F. Di Giorgio (3 albums).
C’est alors qu’il fait une rencontre déterminante, celle de Jean Dufaux. Ensemble, ils entreprennent la série « Beatifica Blues » pour Dargaud. Glénat la rééditera en 1992 et la poursuivra sous le titre de « Samba Bugatti ». Pour cet éditeur, ils ont entre-temps inventé les exploits galants d’un gentilhomme vénitien du 18e siècle dénommé « Giacomo C ».
En 1994, pour la collection « Aire Libre » de Dupuis cette fois, le duo signe « Monsieur Noir ».
En 1996, au Festival d’Angoulême, Griffo fait la connaissance de P. Cothias avec qui il réalise l’épopée de « Cinjis Qan » et « La Pension du Docteur Eon », pour la collection Signé du Lombard.
Griffo est aussi le dessinateur de Vlad pour la collection Troisième Vague du Lombard, scénarisée par Yves Swolfs.
Griffo est également de la partie pour le lancement de la nouvelle collection d’heroic-fantasy du Lombard, Portail avec la série Ellis (octobre 2006) scénarisée par Sébastien Latour. , Desberg Stephen B (Bruxelles 1954 — ) Auteur belge de bandes dessinées. Il se rode au scénario dans l’ombre de Maurice Tillieux. Il collabore aux derniers récits de celui-ci sur "Tif et Tondu" ("Le Gouffre interdit" en 1978, puis "Les Passe-montagnes") et prend ensuite en charge l’écriture de cette série jusqu’au départ de Willy Maltaite (Will), en 1990.
Scénariste quasi attitré de la famille Maltaite, il va produire d’autres récits pour Will (dont trois grandes œuvres plus "adultes" : "Le Jardin des désirs" et "La 27e lettre" dans "Aire Libre", puis "L’Appel de l’enfer" chez P&T Productions) et pour son fils, Eric, avec lequel il développera successivement "Jules et Gil", "La Famille Hérodius" et la série de l’agent secret "421" pour Spirou, avant de se tourner vers un humour plus adulte dans "Carmen Lamour" chez P&T Productions en 1993.
Ainsi lancé, il imagine successivement dans Spirou les séries "Mic Mac Adam" pour Benn dès 1978, un premier essai de "Billy the Cat" avec Colman en 1979, les aventures fantastiques de l’ange "Arkel" pour Marc Hardy en 1981 et l’ambiance africaine rétro de "Jimmy Tousseul" pour Daniel Desorgher en 1987.
Chez Casterman, il s’associe avec Johan De Moor pour composer les personnages de "Gaspard de la nuit" et de "La Vache". Au Lombard, il écrit "Le Sang noir" pour Bernard Vrancken. Dargaud édite son "étoile du désert", saga illustrée par Enrico Marini. Parmi ses plus récentes création, il convient de signaler "Le Cercle des sentinelles" avec Philippe Wurm chez Casterman.
C’est néanmoins le chaton "Billy the Cat" qui lui assure son plus grand succès lorsqu’il décide en 1987 avec Colman de relancer cette ébauche vieille de huit ans déjà. Ces nouvelles aventures vont déboucher sur une remarquable série d’albums, parcimonieusement produits par un dessinateur perfectionniste, et éveilleront l’attention de millions de téléspectateurs européens grâce à une série parallèle de dessins animés. |
BD, roman graphique
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anticipation
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2017
10/11/17
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9782800167268 |
Dupuis
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Aire Libre
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BD
-roman graphique
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26,00 €
26.00
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Trente ans après SOS Bonheur, une nouvelle vision de ce que nos sociétés pourraient imaginer de pire.
En 1988 paraissait, dans le tout neuf label "Aire Libre", le premier tome de S.O.S. bonheur, une suite de fables dystopiques qui mettaient à nu les angoisses de la société d’alors. Presque trente ans plus tard, nos craintes ont-elles changé ? C’est la question que pose aujourd’hui Stephen Desberg avec cette nouvelle saison, à la fois hommage et mise à jour de l’œuvre initiale de Jean Van Hamme - qui en signe d’ailleurs la préface. Pour répondre à cette question, Stephen Desberg dessine dans ce triptyque les contours d’un monde régi par les penseurs d’extrême droite, un univers dominé par l’argent, les valeurs morales réactionnaires, la figure du mâle ou encore la préférence nationale.
En suivant le quotidien de trois personnages plongés dans ce futur qui risquerait un jour de devenir le nôtre, Stephen Desberg met en exergue les dérives de nos sociétés dans un premier album glaçant de justesse, dont la noirceur est encore renforcée par le trait expressif et réaliste de Griffo.
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