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13,5 | 22 | 154 p. |
Je et tu
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Buber Martin B | essai | 2012 07/03/12 | 9782700704297 | Aubier | Philosophie Aubier | Politique et société -philosophie | 16,00 € 16.00 | sur commande ? | ||||||||||||||||||||||||
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Martin Buber (1878-1965) est essentiellement le philosophe de la réciprocité. Il est en effet à l’origine de l’attention toute particulière accordée à la problématique de l’autre dans les philosophies existentielles du XXe siècle. Publié à Heidelberg en 1923, le Je et tu (Ich und Du) suscita, influença ou accompagna les réflexions de Husserl sur la coexistence des intentionnalités, celles de Scheler sur la "sympathie", celles de Jaspers sur la "communication", de Heidegger sur le "mit sein", de Sartre sur le "pour-autrui" et de Lacan sur "l’autre". Si tous n’ont pas forcément lu ou médité Martin Buber, chacun au moins, par son cheminement autonome, exprime l’importance primordiale de la réflexion sur l’autre. Notamment Levinas, chez qui la philosophie du visage comme signe divin fait écho à la doctrine bubérienne du Face-à-Face. Gaston Bachelard exprime le centre incandescent de l’œuvre de Buber, dans sa Préface au Je et tu : "Il faut avoir rencontré Martin Buber pour comprendre dans le temps d’un regard la philosophie de la rencontre, cette synthèse de l’événement et de l’éternité.
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14 | 20,5 | 250 p. |
Utopie et socialisme
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Buber Martin B | essai | 2016 26/01/16 | 9782373090048 | L’Echappée |
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Versus | Politique et société | 18,00 € 18.00 | actuellement indisponible | |||||||||||||||||||||||
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Le mouvement révolutionnaire s’est construit sur un refoulement : celui du socialisme utopique. Dès la fin du XIXe siècle, les propositions de Fourier, Saint-Simon et Owen ont été écartées par les marxistes car considérées comme non-scientifiques. Il est aujourd’hui grand temps d’en revenir à l’enseignement de ces maîtres-rêveurs. C’est ce à quoi s’emploie Martin Buber dans ce livre inspiré, source de réflexion incontournable sur les socialismes non-marxistes. Dans le sillage de Proudhon, Kropotkine et Landauer, il en dégage le principe philosophique : ce n’est pas l’Etat ou le marché qui fait société, mais bien les structures communautaires de voisinage, de travail et d’entraide, ainsi que leur capacité à s’associer librement. La conclusion de ce changement de paradigme est limpide : une révolution est condamnée à l’échec si elle n’a pas posé au préalable les fondations du monde auquel elle aspire. C’est donc ici et maintenant qu’il faut commencer à construire des structures de vie collective où chacun considère autrui comme son égal. Elles seront autant d’îlots de socialisme voués à s’agrandir et à se fédérer, pour aboutir enfin à la communauté des communautés. |